mardi 25 mars 2014

L'état de l'hôpital de Cholet : Constats, témoignages, pétitions, motions, lettres ouvertes...


Mise à jour du 03 mai 2014
 
Constat d’un Choletais (Courrier de l’Ouest du 06 avril 2014)
 
 
Ouest-France du 23 avril 2014
 
 
Courrier de l’Ouest du 23 avril 2014
 
 
 
Article initial
 
 
« Lorsqu’on rêve tout seul, ce n’est qu’un rêve, alors que, lorsqu’on rêve à plusieurs, c’est déjà une réalité. L’utopie partagée, c’est le ressort de l’Histoire. »

Elder Camara

On ne pourrait même pas parler de « bordel ». Car ce dernier, lui au moins, pourrait s’avérer « rentable »

Le président du conseil d’administration (actuellement conseil de surveillance) de l’hôpital de Cholet, Monsieur Gilles BOURDOULEIX, maire de Cholet et député, avait éprouvé le besoin de discuter directement avec les nombreux médecins qui ont quitté l’hôpital. Mais, quelles mesures correctives et préventives a-t-il jugé utile de mettre en place pour stopper cette hémorragie chronique des praticiens ?


Constat du CHSCT (comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail) de l’hôpital de Cholet


Pétition des médecins de l’hôpital de Cholet : « perte totale de confiance dans nos institutions » et « démission de la commission médicale d’établissement (CME) »



Alerte des médecins généralistes du Choletais au directeur de l'hôpital



Plusieurs années plus tard, le 01 juillet 2013, un psychiatre explique son départ


Extrait du courrier adressé par le chef de service de neurologie à l’agence régionale de l’hospitalisation (actuellement agence régionale de santé). Il y explique la démission en bloc des neurologues


Le docteur « Z », un membre de la direction « médico-administrative » de l’hôpital, intervient


Les raisons de la fuite des médecins résumées par un autre psychiatre. Ce dernier répond au Docteur « Z »



D’autres médecins s’expriment








Motion du CTE (comité technique d’établissement)


Un aveu


Nouvelles réactions des médecins




Le 09 juillet 2013, un médecin membre du conseil de surveillance et du bureau de la CME (commission médicale d’établissement) témoigne


En réponse à l’une de mes alertes, le docteur « Z » me menace publiquement et par écrit. Selon lui, si je continue à accomplir mon rôle de « donneur d’alerte », je risque d’être « tué » comme ce « Al Moutanabi »


A nouveau, un médecin tente de me soutenir


Un autre médecin lui répond


Lettre ouverte d’une contractuelle, publiée par un syndicat de l’hôpital de Cholet
 

 
D’autres constats du CHSCT (comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail) de l’hôpital de Cholet






Autres lectures (non exhaustives) :


Hôpital public de Cholet : de l’Accident médicamenteux chez un patient au Constat de la Chambre régionale des comptes… Effritement du service de Cardiologie (2013 - 2014)(Cliquer ici)

 
Hôpital de Cholet : encore un bleu bleu-marine ! (Cliquer ici)

Elections municipales à Cholet (49) : analyse des résultats du premier tour et perspectives (Cliquer ici)






lundi 24 mars 2014

Elections municipales à Cholet (49) : analyse des résultats du premier tour et perspectives


Le cinquième acte s’est produit ce dimanche 23 mars 2014, jour du vote concernant le premier tour des élections municipales qui ont lieu à Cholet. (Lire les premiers actes en cliquant ici)

Hannah Arendt, dans Les Origines du totalitarisme, renvoie à ce que Franz Borkenau soutenait dans The Totalitarian Enemy (1940) : « Les nazis « étaient convaincus que le mal exerce à notre époque une force d’attraction morbide. ». ».

Si l’on croit la presse, le résultat est clair. Le maire sortant, Monsieur Gilles Bourdouleix, est parti pour ne pas sortir de la mairie. Il pointe en tête. Il devance largement ses quatre autres concurrents.

Via l’urne, les Choletais viennent de dire une chose : une « érection » même tordue ; même si elle est faite à l’envers, de travers et dans le mauvais sens de façon constante ou épisodique ; vaut mieux que la mollesse.

Avec Gilles Bourdouleix, au moins, on ne risque pas de sombrer dans l’ennui.

Hannah Arendt rappelle aussi une citation empruntée à l’édition allemande des Protocoles des Sages de Sion (Die Zionistischen Protokolle mit einem Vor-und Nachwort von Theodor Fritsch, 1924) : « La populace n’a jamais manqué de saluer « les actes de violence en remarquant avec admiration : le geste a beau être méprisable, il est ingénieux. ». ».

Je pense aussi à cet autre candidat qui, de façon surprenante, aurait déclaré à la presse que « Gilles BOURDOULEIX » figurait parmi la liste de ses « héros et artistes préférés »… Il ne devrait donc pas être trop déçu du résultat du scrutin. D’autant plus que ledit candidat concurrent aurait précisé que ce qui le rendrait le plus heureux serait que « la mer arrive à Cholet. » Les beaux jours approchant, il aurait donc bientôt l’occasion de profiter de l’air de la mer. Tout en étant « entouré de toutes ses copines », une autre réponse qu’il aurait donnée suite à la question suivante du journaliste : « Comment aimeriez-vous mourir ? »

Hannah Arendt poursuit en expliquant que « l’expérience a prouvé à maintes reprises que l’impact, en termes de propagande, du crime et du mépris général des critères moraux est indépendant du simple intérêt, dont on suppose qu’il représente le facteur psychologique le plus puissant en politique. ».

On voit aussi qu’une élection ne se gagne pas en allant vers les électrices et électeurs en étant déguisé façon « Chapeau melon et bottes de cuir »

Sauf erreur de ma part, seul un candidat concurrent au maire sortant a jugé utile de réserver deux pages de son programme au domaine de la « Santé ». Je pense en particulier au point concernant la situation de l’hôpital public de Cholet. Mais, sa réaction me semble tardive. Ne pas agir en temps réel ne permet pas notamment à l’auteur de créer les conditions favorables à la pédagogie ainsi qu'au débat utile et contradictoire.

Alors, pendant la mi-temps, quelle sera la stratégie des quatre concurrents, au maire sortant, pour le second tour des élections prévu dimanche prochain 30 mars 2014 ?

Envisageraient-ils de nous « chanter » la « mélodie » habituellement servie entre les deux tours des élections ?

Compteraient-ils transformer leurs électrices et électeurs en pions et marionnettes en leur donnant des consignes de vote pour le second tour ?

Formeraient-ils un bloc commun du style « Tous contre le maire sortant » ? Ce qui risquerait de présenter ce dernier en un véritable poids lourd de la politique… En un vrai champion capable de les « prendre tous » en même temps… Là où ils le souhaitent ; et quand ils veulent…

Oseraient-ils faire le « grand écart », au risque de « se déchirer », et jouer à l’amnésie en expliquant à leurs électrices et électeurs respectifs que finalement les idées de ces quatre formations seraient compatibles ; et qu'il faudrait donc s'unir ?

Seraient-ils en mesure de convaincre celles et ceux, comme moi, qui ne voient plus l’utilité de perdre son temps en se rendant à l’urne ?

Je ne pense pas me tromper beaucoup en conseillant à ces quatre concurrents de bien vouloir nous épargner ces manœuvres de dernières minutes, ces « masturbations » intellectuelles, ces « enculades de mouches » en plein vol…

Hannah Arendt ajoute que « les mouvements totalitaires sont possibles partout où se trouvent des masses qui, pour une raison ou une autre, se sont découvert un appétit d’organisation politique. Les masses ne sont pas unies par la conscience d’un intérêt commun, elles n’ont pas cette logique spécifique des classes qui s’exprime par la poursuite d’objectifs précis, limités et accessibles. Le terme de masses s’applique seulement à des gens qui, soit du fait de leur seul nombre, soit par indifférence, soit pour ces deux raisons, ne peuvent s’intégrer dans aucune organisation fondée sur l’intérêt commun, qu’il s’agisse de partis politiques, de conseils municipaux, d’organisations professionnelles ou de syndicats… par conséquent, une démocratie pouvait fonctionner selon des règles qui ne sont activement reconnues que par une minorité… ».

 

Autres lectures (non exhaustives) :

Elections municipales à Cholet (49) : Ma réponse au Parti de Gauche (PG) (Cliquer ici)

Elections municipales à Cholet (49) : Ma réponse au Parti « Un nouvel élan pour Cholet » (Cliquer ici)

Au lieu de voter, j’écris à nouveau au Président de la République Française, Monsieur François HOLLANDE (Cliquer ici)






dimanche 23 mars 2014

Au lieu de voter, j'écris à nouveau au Président de la République Française, Monsieur François HOLLANDE


Cholet, dimanche 23 mars 2014


Docteur Amine UMLIL

Pharmacien Praticien Hospitalier
49300 CHOLET


Objet : Le bâtard, ce parasite de l’institution ; cette verrue de la République.

 
                              Monsieur François HOLLANDE
                                  Président de la République Française
                                         Palais de l’Elysée
                                         55, rue du faubourg Saint-Honoré
                                         75008 PARIS

 

Monsieur Le Président de la République,

 

 

Par la présente lettre ouverte, à tort ou à raison, j’aimerais juste vous dire que suite à l’épreuve à laquelle j’assiste depuis au moins 2005, je pense être en mesure de vous démontrer, sur pièces, que certains individus sont pour les institutions fondamentales de l’Etat Français ce que notamment certains prêtres pédophiles sont pour l’Eglise catholique.

Et, au lieu de nettoyer immédiatement et vigoureusement les cadres de ces respectables institutions, on préfère déplacer ces voyous en usant de la mutation géographique, et/ou attendre que ces personnages partent à la retraite.

Mes agresseurs sévissent au centre hospitalier de Cholet. Mais, en sollicitant aide et protection auprès des représentants de la justice française, j’ai eu le sentiment de m’adresser aux sosies de mes détracteurs. Et depuis neuf ans, tout cela se déroule sous le regard, pour le moins indifférent, des femmes et hommes politiques.

Si l’on croit la presse, les récents événements relatifs aux prétendues « affaires » concernant l’ancien Président de la République et avocat, Monsieur Nicolas SARKOZY, sont venus confirmer davantage le bien fondé de mon analyse.

Maintenant qu’il est directement concerné, Monsieur Nicolas SARKOZY se met à nous donner des leçons en nous prenant, nous français, comme témoin. Dans Le Figaro du 21 mars 2014, il nous explique notamment ceci : « Que chacun réfléchisse à ce bref inventaire car demain il pourra, à son tour, être concerné. ».

Je ne sais pourquoi, mais il y a une phrase qui me revient : « Casse-toi, pauv’ con ! »

Brusquement, Monsieur Nicolas SARKOZY aurait découvert que « décidément, la France des droits de l’homme a bien changé… que des principes sacrés de notre République sont foulés aux pieds avec une violence inédite et une absence de scrupule sans précédent… La justice de la République instrumentalisée… les juges ou les policiers… Sont-ils au-dessus de lois… Ce n’est pas un extrait du merveilleux film « La Vie des autres » sur l’Allemagne de l’Est et les activités de la Stasi. Il ne s’agit pas des agissements de tel dictateur dans le monde à l’endroit de ses opposants. Il s’agit de la France… Son « crime » : être l’ami depuis trente ans d’un avocat général à la Cour de cassation, un des plus fameux juristes de France… etc. ».

Comme disait Coluche : « Il y a deux sortes de justice : vous avez l’avocat qui connaît bien la loi, et l’avocat qui connaît bien le juge ! ».

Je pense que les auteurs du « mur des cons » auraient oublié d’y ajouter certains de leurs collègues. J’en ai repéré quelques-uns…

« Ce qui va faire du boulot à ces bâtards de… »

Les psychiatres connaissent bien le phénomène de la projection. Celle-ci consiste à imputer à autrui son propre agissement.

Dans « Bâtard », la chanson de Stromae (Album racine carrée 2013), on peut écouter notamment ceci : « …Bâtard tu es, tu l’étais et tu le restes… Trou du cul ou bien nombril du monde, Monsieur se la pète plus haut que son trou de balle… ».

Quel spectacle ! Quel cirque !

Devrait-on rire ou pleurer ?

Je n’ai pas attendu cette confrontation entre la corporation des magistrats et celle des avocats pour livrer ce que je pense, désormais, du comportement de certains représentants de la justice française, notamment.

« L’indépendance » et le « secret professionnel » sont des moyens légitimes qui sont prévus pour garantir le bon fonctionnement des institutions telles que celles de la Santé et de la Justice. Ils ont comme but ultime de servir l’intérêt général ; et celui de l’usager, citoyen et contribuable.

Et ces verrous nécessaires ne sauraient être détournés, de façon insidieuse et sournoise, de leur finalité pour que certains puissent se servir, et pour préserver des intérêts corporatistes, catégoriels et personnels.

Ils jugent leurs semblables les humains. Mais, ils ne souhaiteraient pas que leurs semblables les humains les jugent à leur tour. Se remettre en question ne serait pas leur point fort. Admettre ses erreurs serait, pour eux, insupportable. L’évaluation continue des pratiques leur serait étrangère. Ils s’assoiraient sur la qualité de l’image qu’ils peuvent renvoyer à leurs concitoyens. Ils ne semblent pas s’inquiéter du manque de confiance généré par leurs agissements au sein de l’institution qui les abritent. Leur arrogance inonde les palais. Elle donne la nausée. Seraient-ils des citoyens pas comme les autres ? Seraient-ils dotés d’une anatomie particulière ? Par exemple, seraient-ils équipés de « deux trous de balle » qui leur permettraient de déféquer sur les autres citoyens comme bon leur semblent ? Seraient-ils des êtres hors norme ? Des créatures exceptionnelles ? Des dieux vivants ?

Quand un citoyen cause un dommage à autrui, il est sanctionné. Mais, les professionnels de la justice, eux, bénéficieraient d’une sorte de droit à l’erreur. Voire d’un droit à l’erreur volontaire. D’un droit à la faute. Qui, parfois, brise des vies entières. Des vies humaines.

Pourquoi un tel privilège ?

Un citoyen deviendrait-il intouchable par le simple fait d’avoir fait des études de droit ?

Une personne, un « trou du cul », qui a choisi son métier dans le domaine de la justice serait-elle supérieure à une autre personne ?

Un professionnel du droit aurait-il le droit de se placer au-dessus du droit ? Et des lois qu’il est censé respecter et appliquer ?

Mais, si l’on croit aussi Jean Giraudoux, « le droit est la plus puissante des écoles de l’imagination. Jamais poète n’a interprété la nature aussi librement qu’un juriste la réalité. ».

En principe, aujourd’hui dimanche 23 mars 2014, j’aurais dû me déplacer au bureau de vote de mon quartier pour accomplir mon devoir de citoyen. Or, je ne vois plus l’utilité de gaspiller mon temps en me rendant à l’urne. D’autant plus que lesdits représentants des institutions fondamentales de l’Etat ont décidé, de façon arbitraire et en toute impunité, de m’ôter ma citoyenneté, et de me priver des droits les plus élémentaires que la France garantit à tout citoyen. Sur ce point, un extrait de mon raisonnement a été publié le 27 octobre 2013 par Le Journal Le Courrier de l’Ouest (Cliquer ici).

Je serais d’ailleurs curieux de connaître le point de vue de celles et de ceux qui ont perdu leur vie pour obtenir ce droit de vote. Je ne suis pas certain qu’ils (elles) approuveraient l’évolution actuelle du sens politique. « Le vote ou le fusil » serait devenu « Le vote ou la déviance majoritaire »

A la place, j’ai décidé néanmoins de vous écrire à nouveau ces quelques lignes. Une façon, comme une autre, d’accomplir mon devoir. Je pense en particulier au devoir d’alerte. Bien qu’à ce jour, je n’ai toujours pas eu le plaisir de lire vos réponses aux nombreuses lettres recommandées, avec avis de réception, que j’ai eu l’honneur de vous adresser en ma qualité de citoyen d’une part, et de pharmacien praticien hospitalier d’autre part.

Votre prédécesseur, Monsieur Nicolas SARKOZY, a eu au moins le mérite, lui, de me répondre de façon « normale ». Même si sa plume m’avait notamment étiqueté comme étant de sexe féminin. Et malgré le fait que sa promesse n’ait pas été suivie d’effets. En fait, la situation s’est même aggravée depuis.

Mais, peut-être que mes correspondances ne vous ont jamais été transmises…

Enfin, force est de constater que Jean de La Fontaine soutenait, lui aussi, de façon concordante que « selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir. ».

Par conséquent, je vous remercie à l’avance de bien vouloir transmettre ce message à tous ces hauts parleurs, ces Maîtres de la parole, qui tentent de nous rassurer sur l’état de la France. En leur indiquant, à titre subsidiaire, cette précision supplémentaire : « Cessez de nous prendre pour des idiots ! ».

Je vous rappelle qu’une partie de mes preuves, indépendantes et règlementaires en tout premier lieu, est accessible via mon blog (analyse citoyenne indépendante) à travers le lien suivant que vous connaissez déjà : Cliquer ici

En espérant une éventuelle réponse, et surtout une intervention effective, de votre bienveillance,

Je vous prie de bien vouloir recevoir, Monsieur Le Président de la République, l’expression de mes respectueuses salutations.


Amine UMLIL
Citoyen français
 
 
 
Autres lectures (non exhaustives) :
Hôpital de Cholet : encore un bleu bleu-marine ! (Cliquer ici)
 
 
 
 
 

vendredi 21 mars 2014

Magistrats et avocats : leurs outrages à la France


« Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir. »

Jean de La Fontaine

Quel spectacle ! Quel cirque !

Je ne sais s’ils ne donnent à rire ou à pleurer…

Je n’ai pas attendu les « affaires » concernant l’ancien Président de la République Française, Monsieur Nicolas SARKOZY, pour livrer ce que je pense, désormais, du comportement de certains représentants de la justice française.

Les récents articles de presse viennent confirmer davantage le bien fondé de mon analyse.

La vérité sortirait même de la bouche de l’ancien Président de la République, Monsieur Nicolas SARKOZY… Cette affaire met en évidence une démonstration de deux corporations qui s’affrontent…

Dans ces articles de presse (cf. articles ci-dessous), on peut lire notamment ces extraits :

« Décidément, la France des droits de l’homme a bien changé… »

« Ces magistrats obliques »

« Mur des cons »

« Magistrats voyous »

« Ces magistrats demandaient à échapper à la justice »

« Mme Taubira n’entend pas « défendre l’idée d’assurer l’impunité à un citoyen parce qu’il exerce une profession » »

« Ce détournement des procédures »

« Un ami premier avocat général à la Cour de cassation »

« Le bâtonnier de Paris… en demandant en somme au chef de l’exécutif d’intervenir dans une affaire judiciaire »

« Sans pression, notamment de la part de ceux qui, comme auxiliaires de justice, devraient en défendre les valeurs »

« On essaye d’influencer la justice »

« Un responsable politique qui utilise ses réseaux pour organiser son immunité »

« Des principes sacrés de notre République sont foulés aux pieds avec une violence inédite et une absence de scrupule sans précédent »

« La France de 2014 »

« La justice de la République instrumentalisée »

« Les seuls détenteurs en sont les juges ou les policiers… Sont-ils au-dessus des lois sur le secret de l’instruction ? »

« Activités de la Stasi »

« Il ne s’agit pas des agissements de tel dictateur dans le monde à l’endroit de ses opposants. Il s’agit de la France »

« De qui se moque-t-on ? »

« Ce qui va faire du boulot à ces bâtards de Bordeaux »

Etc.

Dans « Bâtard », la chanson de Stromae (Album racine carrée 2013), on peut écouter notamment ceci : « …Bâtard tu es, tu l’étais et tu le restes… Trou du cul ou bien nombril du monde, Monsieur se la pète plus haut que son trou de balle… » (Cliquer ici pour écouter)

Léo Ferré chantait :

« Ces bois que l’on dit de justice

Et qui poussent dans les supplices

Et pour meubler le sacrifice

Avec le sapin de service

Cette procédure qui guette

Ceux que la société rejette

Sous prétexte qu’ils n’ont peut-être

Ni Dieu Ni Maître »

Sous tel ou tel argument légitime, mais détourné de sa finalité, comme celui de l’« indépendance » ou du « secret professionnel »,

L’argument légitime, prévu pour assurer le bon fonctionnement d’une institution, se transforme en moyen servant à préserver des intérêts corporatistes, catégoriels, personnels

Ils jugent leurs semblables les humains.

Mais, ils ne souhaiteraient pas que leurs semblables les humains les jugent à leur tour.

Se remettre en question ne serait pas leur point fort.

Admettre ses erreurs serait, pour eux, insupportable.

L’évaluation des pratiques leur serait étrangère.

Ils s’assoiraient sur la qualité de l’image qu’ils peuvent renvoyer à un citoyen, usager et contribuable.

Ils ne semblent pas s’inquiéter du manque de confiance généré par leurs agissements au sein de l’institution qui les abritent.

Leur arrogance inonde les palais.

Seraient-ils des citoyens pas comme les autres ?

Seraient-ils dotés d’une anatomie particulière ?

Par exemple, seraient-ils équipés de « deux trous de balle » qui leur permettraient de déféquer sur les autres citoyens comme bon leur semblent ?

Seraient-ils des êtres hors norme ?

Des créatures exceptionnelles ?

Des dieux vivants ?

Quand un citoyen cause un dommage à autrui, il est sanctionné. Mais, les professionnels de la justice, eux, bénéficieraient d’une sorte de droit à l’erreur. Voire d’un droit à l’erreur volontaire. D’un droit à la faute. Qui, parfois, brise des vies entières. Des vies humaines.

Pourquoi un tel privilège ?

Un citoyen deviendrait-il intouchable pour le simple fait d’avoir fait des études de droit ?

Une personne qui a choisi son métier dans le domaine de la justice serait-elle supérieure à une autre personne ?

Un professionnel du droit aurait-il le droit de se placer au-dessus du droit ? Et des lois qu’il est censé respecter et appliquer ?

Mais, si l’on croit Jean Giraudoux, « Le droit est la plus puissante des écoles de l’imagination. Jamais poète n’a interprété la nature aussi librement qu’un juriste la réalité. »

J’ai eu le sentiment de solliciter aide et protection auprès des sosies de mes détracteurs.

Articles de presse :

Le Monde du 12 mars 2014




Le Figaro du 13 mars 2014



Le figaro du 15 et 16 mars 2014



Le Courrier de l’Ouest du 20 mars 2014



Le Figaro du 21 mars 2014
 
 
 
 
 



Autres lectures (non exhaustives) :

Maître Ivan JURASINOVIC écrit au procureur de la République (Cliquer ici)

Un procureur de la République qui déconsidère la sécurité des patients et, l’intérêt général de l’hôpital public de Cholet (Cliquer ici)

Le procureur de la République a également déconsidéré le travail effectué par « son » propre service régional de police judiciaire (Cliquer ici)

Ordre national des pharmaciens : le fantôme de Vichy… Des magistrats au parfum du colon Angevin et Nantais… (Cliquer ici)

« Au nom du Peuple Français » : ce que des Magistrats ont refusé de juger (Cliquer ici)

La Cour de Cassation utilise un article « censuré » par le Conseil Constitutionnel (Cliquer ici)

S.O.S. pour Madame Christiane TAUBIRA, Garde des sceaux (Cliquer ici)

Lettre ouverte à Madame Christiane TAUBIRA, Garde des Sceaux, Ministre de la Justice (Cliquer ici)

Lettre ouverte à Monsieur Manuel VALLS, Ministre de l’Intérieur (République Française) (Cliquer ici)

Les bronzés font de la Politique et de la Justice (Cliquer ici)

Une justice à deux vitesses ; à deux visages : une nouvelle preuve (Cliquer ici)

La lettre d’Adèle (Cliquer ici)

La France traite les Animaux mieux qu’un Maghrébin (Cliquer ici)

Hôpital de Cholet : encore un bleu bleu-marine ! (Cliquer ici)