Livre
paru en juin 2023
Éditions
BoD
Dans quelques jours, il
sera disponible en versions papier et numérique
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& en ligne
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librairie, Amazon, Decitre, Fnac, Chapitre, Cultura, etc.)
ISBN 9782322484133
Vaccins contre la Covid-19
Secret
professionnel médical
Le nouveau variant
Amine UMLIL
Résumé
« A
ce jour, il n’est bien sûr pas vacciné, mais il a été réintégré après
avoir été brièvement suspendu, car il nous a produit un passe sanitaire de rétablissement
du covid valable 6 mois. » Tel est le contenu de
la « pièce n°64 » qui vient d’être découverte par le Docteur
Amine UMLIL. Une pièce versée dans le dossier disciplinaire qui a conduit à sa « révocation »
de son poste de pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier au centre
hospitalier de Cholet (cette révocation n’est pas définitive). Ce prétendu statut vaccinal du Docteur Amine
UMLIL, qui serait donc l’un des motifs inavoués de sa révocation, est divulgué ;
y compris par voie de presse. Alors même que ce pharmacien et juriste n’a
jamais révélé ces données ; excepté au médecin du travail.
Ce
livre révèle comment, suite à une dénonciation faite par un médecin, plusieurs
personnes, exerçant à l’intérieur et à l’extérieur de l’hôpital de Cholet, ont
pu accéder à ces données médicales qui sont pourtant secrètes par nature.
L’auteur
saisit cette occasion pour proposer une réflexion d’ordre général. Il alerte en
rappelant la loi et des décisions de justice qui protègent, de façon absolue, le
secret professionnel médical. Car la « violation », tout comme
le « recel de violation » notamment « en bande
organisée », de ce secret porte directement préjudice « à
l’intérêt général » et à la personne qui fait des « confidences »
à son médecin. Enfin, cet ouvrage s’achève par deux énigmes.
Auteur
Amine Umlil est docteur en pharmacie, ancien interne des
centres hospitaliers universitaires (CHU) de Toulouse, ancien étudiant à la
faculté de pharmacie d’Angers. Il est titulaire de plusieurs autres diplômes universitaires.
Il a publié dans différentes revues scientifiques et enseigné dans des
instituts de formation en soins infirmiers. Au moment des faits, il était
praticien hospitalier, responsable de la pharmacovigilance, de la coordination
des vigilances sanitaires, et du centre territorial d’information indépendante
et d’avis pharmaceutiques (CTIAP). Il est également titulaire d’une licence de
droit et d’un master 2 en droit de la santé.