Quelques exemples
concrets, vécus, permettent de répondre rapidement, sans doute partiellement, à
cette question.
Avis pharmaceutiques émis lors de l’analyse
d’ordonnances
Premier exemple
Lundi 07 juillet
2003, j’analyse une ordonnance prescrite par un collègue médecin. Je remarque
alors cette inscription : « Médicament
« V » : appliquer 1 patch par jour. »
Or, pour
conserver son efficacité, ce médicament « V » ne doit pas être administré
de façon continue. Ce patch ne doit pas rester collé en permanence durant 24
heures. Il doit être collé par exemple de 08h00 à 20h00. Et, il faut laisser le
patient sans ce patch pendant un intervalle de 12h00. Donc, il faut enlever le
patch de 20h00 à 08h00 avant d’en coller un nouveau de 08h00 à 20h00. Et, …etc.
Cette précision
ne figure pas sur cette ordonnance. Cela me conduit à adresser ce qu’on appelle
un « avis pharmaceutique » au prescripteur :
« Ce médicament « V » s’administre de façon discontinue
sur le nycthémère en aménageant un intervalle libre quotidien afin d’éviter le
phénomène d’échappement thérapeutique [perte d’efficacité] bien établi
lorsque ce médicament est administré de façon continue. Bien
cordialement. »
Deux jours plus
tard, ce prescripteur me répond :
« Je vous remercie de votre petit mot concernant Madame …
habitant à la maison de retraite … pour laquelle j’ai prescrit ce médicament
« V ». Vous me signalez, par ce message, que ce médicament en patch
s’administre de façon discontinue ce que n’apparaît pas clairement sur ma
prescription. Je tiens à vous rassurer. C’est comme cela que Madame … le reçoit
depuis fort longtemps à raison d’un patch de 8 heures à 20 heures. Avec mes
remerciements, bien cordialement. »
Une collaboration
efficace dans le respect mutuel et pour l’intérêt du patient.
Selon mon
expérience, je peux affirmer que la majorité de mes collègues prescripteurs
accueillent ces avis pharmaceutiques pertinents avec satisfaction.
Deuxième exemple
Jeudi 23 juin 2005,
en analysant une ordonnance médicale, je comprends d’après le traitement
prescrit que le patient est épileptique. Or, cette même ordonnance contient un
médicament « W » qui est contre-indiqué, de façon absolue, justement
chez le patient épileptique. D’où ma réaction orale puis écrite auprès du
prescripteur :
« Je confirme mon entretien téléphonique avec l’infirmière du
service « A », le docteur du service « B » et l’interne du
service « C » : contre-indication du médicament « W »
chez le patient épileptique. Nous n’avons pas dispensé ce médicament avec
l’accord de l’interne. Cordialement. »
Le soir même, le
médecin, rédacteur de la prescription, me répond :
« Bonsoir, merci de ton information, je m’empresse de modifier la
prescription. A bientôt. »
Pourquoi ai-je
été contraint de contacter autant de services hospitaliers « A, B,
C » avant de pouvoir localiser, identifier, le médecin « rédacteur de
la prescription » ou plutôt d’une ligne de ladite prescription ?
La réponse
émerge lorsqu’on aborde quelques facettes relatives à la prescription
hospitalière. A l’hôpital, la prescription est souvent plurielle. Toutes les
lignes de l’ordonnance ne sont pas nécessairement prescrites par un seul
médecin, par un seul spécialiste. On dirait même que l’on assiste à une sorte
de « découpage », de « saucissonnage » du patient en
fonction de ses pathologies. Chaque pathologie étant gérée par un spécialiste
différent. Chaque spécialiste méconnaîtrait même les prescriptions de ses
autres collègues. En l’absence de coordination, en cas de cloisonnement, cette
spécialisation pourrait nuire à la prise en charge globale du patient.
Ces interfaces
rendent plus que jamais indispensable l’intervention du
« pharmacien-clinicien », à ne pas confondre avec un
« grossiste-répartiteur ».
Le pharmacien
représente le point de convergence de toutes ces prescriptions. Il joue le rôle
de liant. Sa vigilance devrait être encore plus accrue lors des périodes à
risques : la nuit, le week-end, les jours fériés. Souvent, lors de ces plages
de gardes et d’astreintes, ce sont les internes en médecine qui sont
généralement mis en première ligne. Or, ces derniers sont des praticiens en
formation.
Et, il y a
d’ailleurs lieu de s’interroger lorsqu’on constate que certains services
hospitaliers ne pourraient correctement fonctionner sans le
« dévouement » de ces jeunes collègues.
Troisième
exemple
Samedi 17
septembre 2005, j’intercepte une contre-indication absolue dans une ordonnance
destinée à un enfant de deux ans et demi. J’alerte le prescripteur :
« Je fais suite à notre entretien de ce jour et vous confirme que
le médicament « T » est contre-indiqué de façon absolue chez l’enfant
de moins de 15 ans. Cordialement. »
Quatrième
exemple
Mardi 25 octobre
2005, je reçois une ordonnance contenant un seul médicament destiné à un
patient non hospitalisé. Je lis : « Médicament
« Y » : 7500 x 2 par jour. Deux injections par jour pendant 10
jours. » Ce médicament permet de « fluidifier le sang ».
Au-delà de
l’imprécision des unités, la dose normale de ce médicament « Y » est
de « 750 » ; et non pas « 7500 ».
Un « 0 » de trop ! Dix fois
la dose normale ! Sans doute une « erreur d’écriture » qui
aurait pu entraîner de graves conséquences notamment hémorragiques. La dose a
été revue et corrigée à temps.
Cinquième et
dernier exemple
Mercredi 07
novembre 2007, à 20 : 49, j’adresse un nouvel avis pharmaceutique au
prescripteur :
« Chère collègue, le médicament « Z » est
contre-indiqué en cas d’insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine
< 30 mL/min). Cf. ordonnance de votre patient « G » … Bien
cordialement. »
Ces cinq
exemples illustrent le métier premier du pharmacien. Ce dernier est donc
capable d’injecter une réelle valeur ajoutée, d’abord « clinique »,
au service de tout patient potentiel.
Avant de
« délivrer » un médicament, avant de donner son « feu
vert », le pharmacien doit, en effet, d’abord analyser l’ordonnance
médicale, préparer les médicaments pour chaque patient, et informer sur les
modalités de leur bon usage. L’ensemble de ces tâches constitue l’acte de
« dispensation » pharmaceutique.
Or, souvent,
l’acte complet de « dispensation » est confondu avec la dernière
étape de « délivrance ».
Ce rôle, dévolu
au pharmacien, est consacré par l’article R. 4235-48 du code de la santé publique
selon lequel le pharmacien est tenu d’« assurer
dans son intégralité l’acte de dispensation du médicament, associant à sa
délivrance :
1° L’analyse pharmaceutique de l’ordonnance médicale si elle
existe ;
2° La préparation éventuelle des doses à administrer ;
3° La mise à disposition des informations et les conseils nécessaires
au bon usage du médicament. »
La voix de la
chambre régionale des comptes
Comme l’avait si
bien rappelé un rapport de la chambre régionale des comptes en 2002, « le rôle propre du pharmacien est
affirmé à l’article R. 5015-48 [devenu R. 4235-48, cité plus haut] du code de la santé publique : il ne
consiste pas seulement à délivrer un produit – acte matériel – mais aussi à
analyser l’ordonnance et contrôler l’adéquation des produits prescrits avec le
patient traité – acte intellectuel. »
Interventions auprès de la Revue Prescrire
Encore une fois, j’ai choisi de vous
présenter deux exemples concrets et vécus.
Premier exemple
Lundi 17 février 2003, la Revue
Prescrire, une revue indépendante d’information sur le médicament, répond à mon
alerte :
« Cher
Monsieur,
Votre
appel téléphonique à la suite de la parution d’un texte sur les risques
d’ischémie colique aux … [médicaments de la classe H]
dans le numéro … de … a retenu toute notre attention.
Vous
avez remarqué une erreur dans ce texte … Vous avez bien fait de nous alerter.
La revue apprécie une telle lecture attentive.
Nous
prévoyons de publier dans … une correction sur ce point, pour rétablir la
vérité.
Cordialement
à vous. »
Deuxième exemple
L’été 2004, cette revue publie la
question que je lui ai posée à propos d’un autre médicament, ainsi que sa
proposition de réponse.
Ce médicament est commercialisé, sous
deux noms commerciaux différents, par deux laboratoires distincts.
Mais, chacun de ces noms commerciaux
présente son propre schéma posologique [deux doses différentes].
Par conséquent, selon le nom
commercial prescrit, le patient peut se trouver avec une dose différente.
Le « laboratoire 1 »
propose des doses qui varient selon que le poids du patient est inférieur à 65
kg ; se situe entre 65 et 85 kg ; ou supérieur à 85 kg.
Or, le nom commercial proposé par le
« laboratoire 2 » indique, quant à lui, une dose qui varie selon que
le poids du patient est inférieur ou supérieur à 75 kg.
D’où mon interrogation : « Pourquoi cette
discordance ? »
Reconnaissance de l’IGAS (inspection générale des affaires sociales)
Dans le cadre d’une enquête menée en
2004 par deux enquêteurs de l’IGAS, ces derniers sollicitent ma contribution. De
leur part, je recevrai :
« Bonjour,
nous avons bien reçu votre envoi et nous vous en sommes très reconnaissants.
Bien à vous. »
Mes travaux dans le domaine de la pharmacovigilance et du circuit du
médicament publiés en juin 2006 dans une revue nationale avec comité de lecture
Reconnaissances (externe et interne) reçues
suite à ces travaux
·
Messages émanant
de collègues exerçant dans d’autres centres hospitaliers
-
05 septembre 2006, un de mes anciens professeurs :
« Cher Amine, bravo et merci pour ces deux articles parus dans …
Je vois que tu travailles bien et je me réjouis de tout ceci. Je suis ravi de
continuer à avoir de tes nouvelles. Avec l’assurance de mon amitié
fidèle. »
-
12 septembre 2006 :
« Merci pour ces documents et félicitations pour ces travaux
remarquables ; nous pourrons notamment nous inspirer de ta grille de
recueil pour l’état des lieux de notre circuit. »
-
18 septembre 2006 :
« Cher M. Umlil, afin de pouvoir fournir à l’un de nos
pharmaciens des articles pertinents su la pharmacovigilance, nous aimerions
recevoir une copie de votre article intitulé … D’avance merci et bonne
journée. »
-
11 octobre 2006 :
« Cher confrère, suite à notre entretien de ce jour, je
souhaiterais un tiré à part de ton article sur la pharmacovigilance parue dans
… Je te remercie pour ton aide. Confraternellement. »
-
30 octobre 2006 :
« Bonjour, je suis pharmacien au centre hospitalier de ..., merci
pour votre article (concernant le circuit du médicament), que j’ai lu depuis un
petit moment déjà. Nous avons décidé de mettre en place le même audit que le
vôtre, j’utilise donc votre grille. L’objet de mon message est une
interrogation par rapport au traitement des données recueillies lors de
l’audit. Avez-vous travaillé avec un logiciel particulier ou bien sur le
logiciel Excel. Merci pour votre réponse. »
·
Bien avant la
publication de ces deux articles, le directeur de la rédaction en faisait la
publicité
« Un article sur ce sujet est justement programmé sur le numéro
de juin. Abonnez-vous ! »
Il faut dire que
des demandes avaient été exprimées par des consœurs et confrères exerçant dans
d’autres établissements de l’Hexagone. En effet, sur un site professionnel,
nous pouvions lire quelques exemples :
« Sur l’établissement, nous allons auditer notre circuit du
médicament en juin 2006. Je suis donc à la recherche d’un document type ou de
documents me permettant d’élaborer une grille pour cette évaluation. Si vous
avez déjà une expérience dans ce domaine, je serais preneuse de vos conclusions
et remarques. Merci d’avance. »
Ou encore :
« Bonjour, moi aussi, je suis dans le même cas. Si vous avez des
documents, merci de me les transmettre. Salutations confraternelles. »
·
Messages reçus à
l’intérieur du centre hospitalier de Cholet dès la réalisation de l’état des
lieux sur le circuit du médicament
Ce travail,
validé par les instances de l’hôpital, est diffusé au sein de l’établissement
le 14 novembre 2005 à 16 : 03.
-
Le jour même, à 16 : 52, le président de la commission médicale
d’établissement (CME) m’écrit :
« Bravo pour ce remarquable travail très clair. »
-
Le lendemain, 08 : 24, un autre collègue médecin m’envoie :
« Merci
de ce rapport détaillé, qui a demandé sans aucun doute un gros travail. »
-
Une semaine plus tard, 14 : 18, c’est au tour de la directrice
coordonnateur des soins :
« Bonjour
Monsieur, j’ai lu attentivement le document que vous nous avez fait parvenir.
Les conclusions se rapprochent bien entendu de ce que nous savions, et c’est
bien que cela puisse être objectivé. Je souhaiterais vous rencontrer pour que
je vous fasse part du travail que nous avons débuté avec les cadres de santé de
certains services pour qu’il n’y ait plus de recopies des prescriptions, ce qui
va évidemment dans votre sens. … (la secrétaire du service) va vous contacter
pour fixer une date de rencontre. Merci de bien vouloir l’honorer. »
·
Messages reçus plusieurs
années après que ce dossier me soit retiré sans arguments objectifs
Alors que le dossier concernant le circuit du médicament est désormais
entre d’autres mains, l’ombre de mes réalisations continue de me suivre.
- Deux années plus tard, presque jour pour jour
Ma publication de juin 2006 concernant le thème du circuit du médicament
est référencée dans un article publié en juin 2008 dans la revue du service de
santé des armées.
- Un an plus tard, le 01 octobre 2009, je reçois ce message :
« Bonjour, je suis pharmacien au centre hospitalier de ... Je
fais référence à un article que vous avez publié dans … concernant une
méthodologie pour la réalisation de l’état des lieux du circuit du médicament.
Je voudrais utiliser le tableau que vous avez fait à cette fin. Il n’est pas
imprimable dans sa version de l’article. Pourriez-vous me le faire parvenir, ou
m’en faire parvenir une version imprimable ? Je vous en remercie par
avance. Cordialement. »
-
Quatre jours plus tard, le 05 octobre 2009, c’est maintenant le comité
d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) de l’hôpital qui me
sollicite :
« … conditions matérielles dans lesquelles les personnels
infirmiers sont contraints d’exercer leur activité professionnelle au risque de
faire des erreurs mettant les patients en danger et d’engager leur
responsabilité juridique. Cette situation de travail dangereuse se situe dans
le local de préparation des médicaments et des injections. … Cette situation
sera consignée dans le registre des dangers graves et imminents. »
-
Jeudi 16 septembre 2010, les membres du comité d’hygiène, de sécurité
et des conditions de travail (CHSCT) de l’hôpital écrivent au directeur. Ils
lui expriment leur volonté de vouloir aborder, lors du prochain CHSCT prévu le
30 septembre 2010, un sujet sur les risques d’erreur dans l’administration des
médicaments. Ils lui réclament donc ma présence lors de cette future
séance :
« La présence de M. UMLIL, responsable de la coordination des
vigilances sanitaires, est nécessaire. C’est pour cela que nous l’invitons en
tant que personne qualifiée. »
·
Constat de la
haute autorité de santé (HAS) plusieurs années après que ce dossier me soit
retiré sans arguments objectifs
Dans le cadre de
la troisième visite de certification menée en juin 2011, les six experts de la
haute autorité de santé retiennent dans leur rapport :
« … l’amélioration de la prise en charge médicamenteuse du
patient … rencontre des freins de certains professionnels dans sa mise en
œuvre. »
A la place de « certains professionnels », j’aurais plutôt tendance à
dire : « certains individus » déguisés en « blouses
blanches » et en « cols blancs ».
Pourrait-on imaginer de tels
« freins » et obstacles dans un aéroport, dans une gare routière ou
ferroviaire, dans une centrale nucléaire ?
Mais, il est vrai que le « crash »
et le « boum » sont beaucoup plus visibles. Ils attirent flash et
caméras …
Domaine de la coordination des
vigilances sanitaires
·
Cotation « A » en lieu et place de
la cotation initiale « C »
Suite à la deuxième visite de certification
menée en septembre 2007, la haute autorité de santé (HAS) émet une réserve
relative à l’absence de coordination des vigilances sanitaires. Le centre
hospitalier de Cholet obtient la cotation « C ».
Fin novembre 2007, je suis désigné
« coordonnateur des vigilances sanitaires ».
Six mois plus tard, la réserve est levée.
Mon « comportement
professionnel » a permis au centre hospitalier de Cholet de récolter
une cotation « A » [soit le maximum de points] suite à mon engagement
dans cette fonction.
Juin 2011, cette cotation « A » est
confirmée lors de la troisième visite de certification.
·
Mon « comportement
professionnel » a provoqué quelques écrits émanant de différents
professionnels :
-
Début 2009,
soit plus d’un an après ma nomination comme coordonnateur des vigilances
sanitaires :
« Bonjour
Mr Umlil et merci beaucoup pour votre précieuse collaboration. Bonne journée à
vous. »
« Ça,
c’est ce qui s’appelle du travail efficace d’équipe ; tout ce qu’à Cholet,
on ne veut pas !! »
-
Année 2010 :
« Bonjour
Monsieur UMLIL, merci à vous pour l’outil de travail que vous mettez à notre
disposition afin de nous faciliter les recherches dans notre quotidien.
Cordialement. »
-
D’ailleurs
même un collègue qui s’était initialement opposé à ce projet se met à
m’écrire :
« Bonjour
Cher ami,
A la réflexion, j’espère que tu n’as pas pris mon intervention comme
critique, le problème de non-respect des normes devient récurrent. Conscient de
la nécessité de respecter les recommandations, il faut faire une coordination.
Ton travail d’hier était parfait. Ce que je voudrai c’est qu’on fasse la police
sur le terrain. Amitiés. »
Auprès de ce
collègue, je m’interroge :
« Bonjour Cher collègue,
La critique, les remarques, les observations, …etc. font partie de
notre métier. Tout travail présenté notamment aux instances de l’établissement
devrait, en principe, faire l’objet de critiques. J’ai donc pris ton
intervention comme « une réclamation client. » Et, comme je l’ai
précisé dans mon exposé d’hier, je souhaite instaurer à l’occasion de ce
travail le « traitement effectif des réclamations émanant notamment des
services de soins. » Ma seule interrogation relative à ton intervention
d’hier est la suivante : Suis-je habilité à « faire la police »
sur le terrain ? Je n’ai reçu aucune directive dans ce sens. Cette mission
ne relève-t-elle pas plutôt des attributions du chef de service, du responsable
du pôle, du président de la commission médicale d’établissement, du directeur,
…etc. ? Enfin, je regrette que ce genre d’intervention critiquant les
travaux, et non les personnes, exposés en CME [commission médicale d’établissement] relève désormais de
l’exceptionnel. Bien cordialement. »
Il clôturera nos
échanges par : « C’est sûrement
pas à toi de faire la police, mon intervention était surtout pour le directeur
qui ne veut pas réactiver le travail de terrain. Je n’ai pas critiqué le
travail qui encore une fois était excellent. »
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