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vendredi 22 novembre 2013

Cholet : la zone d'un caïd ?


Mise à jour du samedi 23 novembre 2013

Le lendemain de mon article initial ci-dessous « Cholet : la zone d’un caïd ? »,
 
Une nouvelle victime aurait été identifiée à Cholet : La responsable de la programmation du théâtre. Lisons quelques extraits des articles de presse : « C’est de la violence, de la méchanceté à l’état pur. En souffrance, la salariée brise le silence. Mise au placard. Raconte son désarroi. Les élus l’ont accusée des pires maux. C’est une femme brisée qui se présente à la presse. Epuisée physiquement et nerveusement, en proie aux doutes, victime d’insomnies. Une femme acculée, « terrée » chez elle depuis un an. Plusieurs fois au cours de l’entretien, elle fondra en larmes. Elle arrivait à Cholet enthousiaste, elle ne soupçonnait pas l’abîme dans lequel elle allait plonger. Etc. ».
Une autre coïncidence : cette femme aurait été examinée par le même expert, spécialiste du domaine, qui m’avait reçu dès 2006. Il s’agit du Docteur qui exerce au service des pathologies professionnelles du centre hospitalier universitaire (CHU) d’Angers. Ce Docteur est également le Médecin Inspecteur Régional du Travail cité dans mon article d’octobre 2012 intitulé S.O.S. pour Madame Christiane TAUBIRA, Garde des sceaux


Article initial du 22 novembre 2013 « Cholet : la zone d’un caïd ? »

 
Si l’on croit les différents articles de presse, des faits, pour le moins étranges, se déroulent à Cholet. Une ville française située dans le Maine-Et-Loire à mi-distance entre Angers et Nantes.

Monsieur Le Préfet aurait parlé de La République Autonome de Cholet

Une directrice d’EHPAD (Etablissement d’Hébergement de Personnes Agées Dépendantes) serait mise à pied.

Le commissaire de police aurait subi une expertise psychiatrique imprévue. Inattendue. Inopinée. Il aurait été déclaré inapte après tant d’années de services rendus. Il aurait risqué la radiation. Mais, en attendant celle-ci, il aurait toujours le droit de porter son arme de service. Finalement, il pourrait poursuivre sa carrière.

Le préfet et un ou plusieurs sous-préfets auraient rencontré quelques désagréments. Parmi eux, un voulait « chanter La Marseillaise ». Mais, pas de chance : son micro n'aurait pas fonctionné. Il aurait été coupé.

Devant la sous-préfecture, des sacs d’excréments auraient été déposés.

Une élue aurait été mise sur la touche. Ses indemnités auraient été supprimées. Elle a commis le tort de se désolidariser, publiquement, d’un écrit soutenant Monsieur Gilles BOURDOULEIX qu'on ne présente plus. Suite aux propos faisant référence à Hitler. Une histoire, concernant les gens du voyage, qui a rendu Cholet célèbre, y compris à l'Etranger.

Que de coïncidences…

Des journalistes qui seraient sous pression. Insultés. Voire agressés.
 
Un malaise à l'IML (Institut Municipal des Langues). Il semblerait que depuis des années, des voix auraient dénoncé un climat délétère. La direction aurait mis la pression. Certains ressentiraient du harcèlement. Des professeurs d'origine étrangère n'auraient pas envie de faire de vagues. Les changements de direction n'auraient pas amélioré la pesante ambiance. Une nouvelle directrice appliquerait les directives venues d'en haut. Une succession d'arrêts maladie.

Et le pharmacien qui exerce au centre hospitalier de Cholet, un hôpital public dont le conseil de surveillance (ex. conseil d’administration) est présidé par ledit Gilles BOURDOULEIX… Un hôpital qui enregistre un invraisemblable turn-over des médecins, notamment. Une hémorragie initiée depuis quelques années.

On dirait que l’hôpital public aurait été confondu avec le Conseil Municipal

A lui seul, le cas de ce pharmacien regroupe tous les cas cités ci-dessus…

Ce pharmacien a été traduit en chambre de discipline, et a reçu un blâme avec inscription au dossier. Finalement, cette sanction, tout comme sa traduction en chambre de discipline, a été annulée par l’instance nationale du Conseil de l’Ordre des pharmaciens.
Il a subi une expertise psychologique qui voulait notamment mesurer son « degré de connaissance et de maturation en matière sexuelle, compte-tenu de son âge ». Comme si la « vérité » serait, finalement, cachée dans les « bourses du pharmacien »…
Puis à deux reprises, l’ARS (agence régionale de santé) l’a convoqué à une nième expertise psychiatrique. Censée mesurer, cette fois, son « aptitude physique et mentale » à exercer sa fonction.
Sa messagerie professionnelle a été coupée.
Durant ses congés, son bureau à l’hôpital a reçu la visite d’un Rat. Les policiers, qui sont venus constater les dégâts, lui faisaient remarquer : « En tout cas, le rat vous a niqué la souris » de votre ordinateur. Le cordon de son téléphone professionnel a été nettement sectionné au milieu, symétriquement : le rat maîtrise la mesure… On dirait que ce rongeur, de taille, aurait une dent contre les moyens de communication de ce pharmacien. Comment cet animal est arrivé dans ce bureau ? Il n’avait pourtant ni parachute ni matériel de plongée.
Ce pharmacien est mis au placard. Il subit depuis au moins 2005.
Plusieurs de ses indemnités ont été supprimées.
Etc.


On dirait un vrai film. Avec des ressemblances frappantes entre le sort réservé à tous ces personnages. Une histoire mystérieuse. Une énigme. Une intrigue.
Son équation semble têtue. Malgré la simplicité de son degré. Et en dépit du faible nombre de ses paramètres inconnus. Qui se distinguent par leur banalité. Voire leur médiocrité. Combinée à de l’hypocrisie.
Des agissements de bas de gamme

Peut-être aurais-je oublié d’autres personnes. D’autres cibles. D’autres victimes.

S’agirait-il d’une anecdote virtuelle ? Une caricature imaginaire ? Une réelle chimère ? Qui se déroule dans une cité interdite ? Dans un Etat autonome au sein de la République Française ?

S’agirait-il d’un Royaume Autonome où règne sa Majesté du bocage ?

Un Etat dont les institutions auraient gravé sur leur fronton : NO ZOB ; NO JOB ?

Et, dont le drapeau aurait été mis en berne ?

 
Enfin, quelques dernières nouvelles :

La direction du centre hospitalier de Cholet m’écrivait le 18 février 2013 ceci : « Suite à votre utilisation fautive et répétée de la messagerie professionnelle (cf. courriers du 7 décembre 2012 et du 17 décembre 2012, j’ai naturellement informé Madame la Directrice du Centre national de gestion des praticiens hospitaliers qui est la seule autorité compétente pour la discipline des praticiens hospitaliers. »

Or, finalement, ledit Centre national de gestion a rejeté la requête de cette direction.

Alors, depuis, cette direction s’adjuge le droit de m’interdire l’accès à ma messagerie professionnelle (ma boîte e-mail).

Une première interdiction d’accès m’a été infligée le lundi 07 octobre 2013. Le lendemain, j’apprenais par la presse que cette sanction courait jusqu’au samedi 12 octobre 2013 inclus.
Or, je n’ai fait que rappeler à cette direction notamment son inertie face à mes alertes relatives notamment au mésusage (mauvaise utilisation) des nouveaux médicaments anticoagulants. Des alertes envoyées dès 2012…
Pourquoi « six jours » de sanction ? Serait-ce en référence à la « Guerre des Six Jours » ?

Deux jours plus tard, le 09 octobre 2013, la presse nationale nous apprenait les plaintes déposées en France à propos de ces médicaments anticoagulants.
La direction aurait, sans doute, bientôt l’occasion de venir expliquer à ces familles, qui ont perdu un proche, que mon utilisation de la messagerie de l’hôpital public de Cholet serait « fautive et répétée »


Et, à nouveau, je suis privé de ma messagerie professionnelle du 22 novembre 2013 au 07 décembre 2013 inclus.

Je suis « puni ». Je suis « mis au petit coin ». Comme un « écolier à la maternelle ».

Malgré mon parcours… mon « bac +10 » au moins…

Je suis sanctionné par le directeur, au parcours inconnu, non affiché… qui s’est senti, brusquement, investi d’une « mission civilisatrice » à mon égard.

Il m’a « coupé le micro ». Pour la deuxième fois...

Je ne peux donc plus « chanter la Marseillaise ».
Je ne peux ni communiquer avec mes collègues médecins et infirmiers notamment ; ni leur adresser telle ou telle éventuelle alerte concernant la sécurité des soins.
Je suis pourtant responsable de la pharmacovigilance et de la coordination des vigilances sanitaires…
J’ai commis le seul tort de vouloir rappeler au directeur de l’hôpital qu’il est à la tête d’un établissement de santé public. A ne pas confondre avec un centre commercial type Carrefour, Leclerc, Géant, Auchan, et autres. Je lui ai démontré que nous soignons des patients et non des boîtes de conserves.

Du zèle autoritaire.

Par contre, ceux avec un nom et un prénom « bien français » qui diffusent publiquement des e-mails, qui n’ont aucun lien avec le Travail contrairement à mes écrits, ciblant notamment les arabes et musulmans ne sont pas sanctionnés (cliquer ici).

Pas plus que ceux, toujours avec un nom et un prénom « bien français », qui critiquent ouvertement, sur cette même messagerie, l’attitude de cette direction :

« Vous parlez d’un « souci de simplification », mais pour qui ? »

« Je m’étonne là encore que nos conditions d’exercice (situations d’urgence, bloc opératoire…) ne soient pas plus prises en compte. »

« J’espère que cela suscitera de nombreuses réactions chez les médecins et ce, malgré le fait que cette décision ait été prise en pleines vacances scolaires. »

« Pourquoi tenter à nouveau mais de façon détournée cette fois de vouloir fermer l’internat, auquel internes et médecins tiennent tant ? Vous viendrait-il à l’idée de demander aux personnes déjeunant au self de payer des repas qu’ils ne prennent pas ? Et pourtant c’est ce que vous nous proposez, comptant sur vos vacances estivales ainsi que sur celles des médecins pour absorber la contestation. »

« Je partage entièrement les propos de mes confrères sur votre volonté en période estivale de fermer de manière détournée l’internat. »


Un traitement ciblé dirigé contre le pharmacien, accessoirement « Maghrébin »…

Cette direction n’aurait pas sanctionné non plus ce médecin qui m’écrivait publiquement le 03 octobre 2013 ceci :

« et pour un donneur d’Alerte et si tu comprends l’arabe littéraire, je te conseille de lire « Al Moutanabi », celui qui s’est déclaré prophète et justicier tu verras comment il a fini. »

Ledit « Al Moutanabi » aurait été tué !

Ce médecin serait une connaissance de Monsieur Gilles BOURDOULEIX


 
Ces faits sont entre les mains du Procureur de la République, notamment. Qui devrait être attentif à l'état et à la couleur de mon Bonnet.



Pour plus d’informations, consulter notamment :

Mon Blog intitulé analyse citoyenne indépendante (cliquer ici)

 
Les nombreux articles de presse : une liasse de 2007 à 2013 (Ouest-France ; Courrier de l’Ouest ; LE POINT ; LE MONDE Sciences & Médecine ; Politics Inside ; etc.)
 
Un résumé publié par La Revue Marianne le 12 avril 2011 intitulé A Cholet, le cauchemar d’un pharmacien hospitalier (cliquer ici)

Un article du Nouvel Observateur en date du 02 octobre 2013 intitulé Alerte sur le Pradaxa : pharmacien, j’avais mis en garde contre ces anticoagulants (cliquer ici)

Un article du Nouvel Observateur en date du 09 octobre 2013 intitulé Santé : l’hôpital public, c’est comme un club de foot entraîné par une danseuse (cliquer ici)

 



3 commentaires:

  1. Bonjour Monsieur,
    Je souhaiterai vous contacter en off. Merci de me transmettre votre adresse mail svp.
    Une autre victime,

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  2. Bonjour Monsieur Umlil,
    Auriez-vous une adresse électronique où je pourrais m'exprimer de façon plus anonyme au sujet de vos articles?

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    Réponses
    1. Bonjour,
      Pour que je puisse vous transmettre mon adresse e-mail, merci de bien vouloir m'envoyer la vôtre dans un nouveau commentaire (qui ne sera pas publié).

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