Que
fait un
voyou, un délinquant, un criminel lorsqu’il est coincé ?
Dans l’article
intitulé « Hôpital public de Cholet :
un nouveau directeur au-dessus des lois de la République », je
démontre comment la nouvelle direction du centre
hospitalier de Cholet, dirigée depuis septembre 2012 par Monsieur Pierre VOLLOT, travestit
la réalité auprès notamment du Conseil d’Etat. En
disant, par exemple, tout le contraire de la vérité consignée
pourtant dans, non pas un, mais plusieurs procès-verbaux de
la commission médicale d’établissement de l’hôpital de Cholet. Tout en portant atteinte à mon honneur et à ma
réputation auprès notamment du centre hospitalier universitaire (CHU) d’Angers. (Cliquer ici)
Monsieur
Pierre VOLLOT ne s’arrête pas là.
Auprès
du Conseil d’Etat,
il vient de réactiver de nouvelles accusations graves, injustifiées, infondées qui me ciblent.
Ces
accusations portent sur mon activité réalisée, dans le passé, au centre
hospitalier de Saumur que j’avais intégré juste après la fin de mon internat (effectué pendant 4 ans aux centres hospitaliers universitaires de
Toulouse) :
A
nouveau, constatons la réalité
écrite émanant dudit centre
hospitalier de Saumur… Je ne vous livre que quelques échantillons, non exhaustifs, produits juste avant mon départ de l’hôpital
de Saumur. On peut y lire notamment : « Nous
regrettons son départ… » !
Ecrit du Pharmacien Chef de service :
Ecrit du Directeur :
Ecrit du Président et du Vice-Président
de la commission médicale d’établissement :
Ecrit du Chef de service de Cardiologie :
Ecrit du Chef du Département de
Gériatrie :
Des « petits mots » de mes
anciennes collègues (préparatrice en pharmacie, secrétaire…) :
Ces
accusations inexactes de Monsieur Pierre VOLLOT avaient été introduites
initialement par son prédécesseur que l’on ne présente plus : Monsieur Denis MARTIN. Ce dernier a dirigé le
centre hospitalier de Cholet de février 2005 à avril 2012 avant qu’il ne prenne
la fuite…
Ces
fausses accusations avaient été versées
auprès du tribunal administratif de Nantes,
le service régional de la police judiciaire d’Angers,
l’ordre national des pharmaciens…
Eu
égard à mes écritures, aucun juge ne s’est
aventuré sur ce terrain…
Mais, Monsieur Pierre VOLLOT, lui, n’aurait peur de
rien.
Il est
étonnant de ne pas voir des accusations similaires, me ciblant, sur mon passé hospitalo-universitaire
de 10 ans (Faculté de pharmacie d’Angers ;
Centres Hospitaliers Universitaires de Toulouse)…
N'ayant aucun argument objectif, sérieux, susceptible d'expliquer le traitement que mes détracteurs m'infligent depuis au moins 2005, la bande se met à fouiller dans mon passé... A Cholet, ses membres n'ont rien à se mettre sous la dent... Mais, à nouveau, la récolte est maigre... Mauvaise pioche...
Et, si
on fouinait aussi, et notamment, dans le passé de Monsieur
Denis MARTIN et de Monsieur Pierre VOLLOT…
Et
voilà ce que ça donne de mettre n’importe qui à
la tête d’un
hôpital public… Des moins diplômés qui
veulent
diriger, ou plutôt commander, des « bacs +10 » au moins…
Une
caricature. Une farce. De mauvais goût. A l’odeur nauséabonde.
Autres
lectures (non exhaustives) :
Le procureur de la République a également déconsidéré le travail
effectué par « son » propre service régional de police judiciaire (Cliquer ici)
Centre hospitalier de Cholet : un procès-verbal falsifié (Cliquer ici)
Centre hospitalier de Cholet : les « raisons » d’un
délabrement annoncé… Et lorsque Monsieur Gilles BOURDOULEIX qualifie de
« Fascistes » des membres du personnel de l’hôpital… (Cliquer ici)
Ordre national des pharmaciens : le fantôme de Vichy… Des
magistrats au parfum du colon Angevin et Nantais… (Cliquer ici)
Un procureur de la République qui déconsidère la sécurité des patients
et, l’intérêt général de l’hôpital public de Cholet (Cliquer ici)
Gros soucis également avec M Denis MARTIN. Comment peut-on laisser sévir de tels personnages ?
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