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jeudi 27 février 2014

Hôpital public de Cholet : deux directeurs, un copier-coller, deux sosies, finalement...


Que fait un voyou, un délinquant, un criminel lorsqu’il est coincé ?

Dans l’article intitulé « Hôpital public de Cholet : un nouveau directeur au-dessus des lois de la République », je démontre comment la nouvelle direction du centre hospitalier de Cholet, dirigée depuis septembre 2012 par Monsieur Pierre VOLLOT, travestit la réalité auprès notamment du Conseil d’Etat. En disant, par exemple, tout le contraire de la vérité consignée pourtant dans, non pas un, mais plusieurs procès-verbaux de la commission médicale d’établissement de l’hôpital de Cholet. Tout en portant atteinte à mon honneur et à ma réputation auprès notamment du centre hospitalier universitaire (CHU) d’Angers. (Cliquer ici)

Monsieur Pierre VOLLOT ne s’arrête pas là.

Auprès du Conseil d’Etat, il vient de réactiver de nouvelles accusations graves, injustifiées, infondées qui me ciblent.

Ces accusations portent sur mon activité réalisée, dans le passé, au centre hospitalier de Saumur que j’avais intégré juste après la fin de mon internat (effectué pendant 4 ans aux centres hospitaliers universitaires de Toulouse) :
 
 
A nouveau, constatons la réalité écrite émanant dudit centre hospitalier de Saumur… Je ne vous livre que quelques échantillons, non exhaustifs, produits juste avant mon départ de l’hôpital de Saumur. On peut y lire notamment : « Nous regrettons son départ… » !

Ecrit du Pharmacien Chef de service :


Ecrit du Directeur :


Ecrit du Président et du Vice-Président de la commission médicale d’établissement :


Ecrit du Chef de service de Cardiologie :


Ecrit du Chef du Département de Gériatrie :


Des « petits mots » de mes anciennes collègues (préparatrice en pharmacie, secrétaire…) :




Ces accusations inexactes de Monsieur Pierre VOLLOT avaient été introduites initialement par son prédécesseur que l’on ne présente plus : Monsieur Denis MARTIN. Ce dernier a dirigé le centre hospitalier de Cholet de février 2005 à avril 2012 avant qu’il ne prenne la fuite…

Ces fausses accusations avaient été versées auprès du tribunal administratif de Nantes, le service régional de la police judiciaire d’Angers, l’ordre national des pharmaciens

Eu égard à mes écritures, aucun juge ne s’est aventuré sur ce terrain…

Mais, Monsieur Pierre VOLLOT, lui, n’aurait peur de rien.

Il est étonnant de ne pas voir des accusations similaires, me ciblant, sur mon passé hospitalo-universitaire de 10 ans (Faculté de pharmacie d’Angers ; Centres Hospitaliers Universitaires de Toulouse)…
 
N'ayant aucun argument objectif, sérieux, susceptible d'expliquer le traitement que mes détracteurs m'infligent depuis au moins 2005, la bande se met à fouiller dans mon passé... A Cholet, ses membres n'ont rien à se mettre sous la dent... Mais, à nouveau, la récolte est maigre... Mauvaise pioche...

Et, si on fouinait aussi, et notamment, dans le passé de Monsieur Denis MARTIN et de Monsieur Pierre VOLLOT

Et voilà ce que ça donne de mettre n’importe qui à la tête d’un hôpital public… Des moins diplômés qui veulent diriger, ou plutôt commander, des « bacs +10 » au moins

Une caricature. Une farce. De mauvais goût. A l’odeur nauséabonde.

 

Autres lectures (non exhaustives) :

Le procureur de la République a également déconsidéré le travail effectué par « son » propre service régional de police judiciaire (Cliquer ici)

Centre hospitalier de Cholet : un procès-verbal falsifié (Cliquer ici)

Centre hospitalier de Cholet : les « raisons » d’un délabrement annoncé… Et lorsque Monsieur Gilles BOURDOULEIX qualifie de « Fascistes » des membres du personnel de l’hôpital… (Cliquer ici)

Ordre national des pharmaciens : le fantôme de Vichy… Des magistrats au parfum du colon Angevin et Nantais… (Cliquer ici)

Un procureur de la République qui déconsidère la sécurité des patients et, l’intérêt général de l’hôpital public de Cholet (Cliquer ici)
 
 
 
 
 
 
 

1 commentaire:

  1. Gros soucis également avec M Denis MARTIN. Comment peut-on laisser sévir de tels personnages ?

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