mardi 10 mai 2022

Élections législatives 2022 : le fondement d’une candidature

 

Sollicité dans le cadre des prochaines élections législatives prévues le 12 juin 2022 et le 19 juin 2022, j’ai accepté de présenter ma candidature dans la quatrième circonscription du département (85) de la Vendée (région des Pays-de-la Loire).

 

« PROTÉGEONS LA SANTÉ DES FRANÇAIS : Suppression définitive de tout passe sanitaire ou vaccinal et réintégration des soignants exclus » est le thème principal qui a motivé ma décision. Car, il vise à sauvegarder la dignité de la personne humaine.

 

Ce thème est totalement concordant avec mon engagement constant depuis le début de mon exercice professionnel en tant que pharmacien ; un métier que j’ai choisi par conviction et non par opportunité. Comme cela est consacré notamment par la loi (au sens large) et par les écritures de l’ordre national des pharmaciens, l’indépendance professionnelle du pharmacien n’est pas là pour le confort du praticien, mais pour la protection du public contre notamment des choix publics et/ou privés qui sont de nature à porter atteinte à l’intérêt des patients et des personnes humaines en général. Les études de droit, notamment en droit de la santé, sont venues renforcer davantage ma connaissance des différentes facettes du domaine complexe du médicament et du système de santé. Cet engagement a donc toujours poursuivi un seul but : celui de l’intérêt général comme cela est attesté par de nombreux documents, indépendants et réglementaires en tout premier lieu tels que ceux établis par les corps d’inspection.

 

Une récente preuve de cet investissement trouve sa source dans les différentes actions d’information indépendante, destinées aux professionnels de santé et au public notamment, qui ont été mises en œuvre de façon effective depuis la survenue de la Covid-19 (maladie liée au coronavirus : le Sars-CoV-2), et en particulier depuis l’instauration de l’obligation vaccinale contre la Covid-19.

 

« PROTÉGEONS LA SANTÉ DES FRANÇAIS : Suppression définitive de tout passe sanitaire ou vaccinal et réintégration des soignants exclus » est l’engagement pris, de façon claire et continue, par Monsieur Nicolas DUPONT-AIGNAN.

 

Par conséquent, et suite à l’aimable proposition de DEBOUT LA FRANCE qui vient puiser dans les ressources disponibles sur notre territoire, j’ai décidé de mettre à disposition mes connaissances et compétences acquises au service de cet objectif commun dans le cadre d’une coopération inspirée des principes d’une structure matricielle ; tout en gardant mon indépendance à laquelle je suis attaché. En effet, je ne suis adhérent à aucun parti politique, à aucune organisation syndicale, à aucune autre entité.

 

Pouvoir devenir Député de la Nation nous permettra de porter nos arguments objectifs, vérifiables et indépendants au cœur de l’assemblée nationale : au cœur du législateur.

 

J’ai déjà transmis une partie de ces arguments lors de mon audition, le 8 avril 2022, par l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) dans le cadre de l’enquête demandée par la Commission des affaires sociales du Sénat. Cette enquête, diligentée suite à une pétition, concerne les « Effets indésirables des vaccins contre la Covid-19 et système de pharmacovigilance français ». Et à la demande de plusieurs citoyens venant de divers horizons, le rapport, que j’ai transmis à l’OPECST, est désormais disponible dans un livre paru sous le titre « Vaccins contre la Covid-19 : L’impossible consentement ».

 

Il y a lieu de rappeler, de façon non exhaustive, les récents risques d’atteintes à des valeurs sociales et à des principes pourtant protégés par notre corpus juridique. Ces risques sont notamment ceux concernant l’atteinte portée à l’inviolabilité et à l’indisponibilité du corps humain ; la violation de l’autonomie de la volonté de la personne humaine et du secret professionnel médical ; la tendance à la chosification de l’être humain ; la déformation de la définition même du mot « santé » ; l’interdiction à des patients d’accéder aux soins nécessaires en raison de leur état de santé et de leur statut vaccinal contre la Covid-19 ; le défaut d’information du public et la promotion du mésusage des médicaments illustrés, de façon magistrale, lors de la campagne de vaccination contre la Covid-19 ; l’exceptionnelle gravité et le caractère inédit de l’expérimentation menée avec ces vaccins contre la Covid-19 depuis la consécration du Code de Nuremberg dont l’esprit a pourtant irrigué notre système juridique, et sans la garantie d’un consentement libre et éclairé des personnes humaines alors même que ce consentement est mis au rang des libertés fondamentales ; le relevé de plusieurs faits qui sont de nature à vicier ce consentement, et sont donc susceptibles de porter atteinte à la dignité de la personne humaine ; l’atteinte à l’indépendance professionnelle du médecin et du pharmacien, une indépendance qui, comme souligné précédemment, n’est pas là pour le confort du praticien mais pour la protection du public ; la suspension des soignants et des autres professionnels tels que les pompiers dans le cadre de l'obligation vaccinale contre la Covid-19, l’arrêt immédiat de leur rémunération, l’interdiction de toute autre activité rémunérée aux professionnels de santé hospitaliers suspendus, sanctions prises de façon extrajudiciaire ; discrimination fondée sur l’état de santé de la personne ; des lois votées avec peu de députés, notamment, présents ; etc.

 

Face à ces dérives et velléités autoritaires qui nous menacent, eu égard au trouble semé de façon arbitraire dans notre existence par ladite ʺgestionʺ de la Covid-19, vu le pervertissement du sens des mots et le travestissement du raisonnement, il appartient aux citoyens de se positionner avec responsabilité afin de choisir les valeurs auxquelles ils expriment leur attachement. Il revient aux citoyens de décider de la qualité de vie et du type de société qu’ils souhaitent léguer à leurs descendants.

 

De ces objectifs précis et concrets, ci-dessus exprimés sans détour, jaillissent le sens et la portée de la présente candidature qui est, par ailleurs, dénuée de tout lien ou conflit d’intérêts.

 

Lors de ces prochaines élections législatives, il y a donc lieu d’opérer ce choix face aux enjeux qui se profilent ; et qui pourraient nous propulser vers un avenir incertain, voire dangereux.

 

 

 

 

Amine UMLIL

 

 

 

 

Pièce jointe : Extrait du Curriculum vitae (C.V.) (cliquer ici)

 

 

 

 

 



dimanche 8 mai 2022

Les méthodes du journal le Courrier de l’Ouest (diffusé sur internet par Ouest-France)

 

Hier, samedi 7 mai 2022, je découvre en fin de journée l’article publié sur internet (ce même samedi, à 16h01) par le journal Le Courrier de l’Ouest. Cet article est diffusé en ligne par le journal Ouest-France. Il est signé par Madame Mélanie MAROIS.

 

Le titre de cet article est : « Législatives. Pharmacien à l’hôpital de Cholet, Amine Umlil annonce sa candidature sur Twitter ».

 

Que vient faire « l’hôpital de Cholet » dans cette affaire ?

 

De même, cet article utilise une photo qui a été prise, il y a plusieurs mois par un autre journaliste du Courrier de l’Ouest, dans le cadre d’un autre sujet qui n’a aucun rapport avec lesdites élections législatives. De plus, cette photo est publiée sans aucune autorisation préalable.

 

Cet article soutient : « Fer de lance de la contestation contre les mesures sanitaires édictées par le gouvernement pendant la crise du Covid-19, le choletais Amine Umlil (…) ».

 

L’auteur semble confondre « mesures sanitaires » avec « obligation vaccinale contre la Covid-19 ».

 

Cet article affirme : « On sait que le pharmacien a soutenu Ensemble pour les libertés, mouvement anti-pass sanitaire fondé par Martine Wonner, psychiatre et députée de la 4e circonscription du Bas-Rhin ».

 

Alors que, si je sais qui est Madame le Docteur Martine WONNER, j’ignorais même l’existence de cet « Ensemble pour les libertés ». Je n’ai donc jamais « soutenu » un tel mouvement dont j’ignorais même la naissance.

 

Mieux encore, cet article poursuit : « Durant la campagne présidentielle, Amine Umlil a également manifesté son soutien à Marine Le Pen, la candidate du Rassemblement national (RN) (…) » ; et se lance dans un développement concernant une candidate de ce mouvement.

 

Une telle déduction trouverait sa source dans une tribune que j’ai publiée, le 17 avril 2022, dans le journal FranceSoir sous le titre : « Atteinte à la dignité de la personne humaine sous l’empire d’Emmanuel Macron : une dignité que Marine Le Pen propose de rétablir » (cliquer ici). Manifestement, selon cette journaliste du Courrier de l’Ouest, l’analyse d’un fait vérifiable se transforme en « soutien ».

 

Ensuite, cet article indique : « Pour mémoire, Amine Umlil a été condamné pour injure publique [en rouge] à l’encontre du directeur et du DRH de l’hôpital de Cholet, le 28 avril dernier par le tribunal correctionnel d’Angers. Dans un article publié le 17 août 2021, sur le blog du Centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques (CTIAP) qu’il anime, il les avait comparés à des médecins nazis ». Cet article renvoie vers un autre article publié, le 28 avril 2022 par un autre journaliste du Courrier de l’Ouest (Monsieur Cyprien MERCIER), sous le titre « Il compare la direction de l’hôpital au régime nazi : le « Didier Raoult choletais » condamné ». Ce Monsieur Cyprien MERCIER soutient : « Connu pour ses positions comparables à celles du Pr Didier Raoult, proche du média complotiste et covido-sceptique France Soir, récent soutien de Marine Le Pen, le pharmacien (…) ». Présent à la même audience, le journaliste d’Ouest-France, lui, a évité une telle dérive, et c’est peu dire.

 

Or, le Courrier de l’Ouest omet de préciser ce qu’il ne peut ignorer : un appel de cette décision a été interjeté. Et, il évite de rappeler le compte-rendu d’audience publié, le 1er mai 2022, par le CTIAP du centre hospitalier de Cholet sous le titre « Obligation vaccinale contre la Covid-19 et sauvegarde de la dignité de la personne humaine. Audience du 28 avril 2022 au Tribunal judiciaire (correctionnel) d’Angers : bref compte-rendu et suite » (cliquer ici). Un compte-rendu qui rappelle ce que le tribunal a, lui-même, indiqué une fois la décision lue.

 

La journaliste du Courrier de l’Ouest, Mélanie MAROIS, continue : « Il a aussi contesté, devant la justice, la mise en œuvre de l’obligation vaccinale contre la Covid-19 au sein de l’établissement hospitalier. Il a été débouté par le Conseil d’État [en rouge] le 22 avril » ; sans mentionner des faits importants relevés lors de cette procédure.

 

Dès le mois d’août 2021, un autre journaliste du Courrier de l’Ouest, Monsieur Alexandre BLAISE, avait usé de telles méthodes. Je n’avais pas manqué de lui répondre dans un article publié, le 15 août 2021, sous le titre « Obligation vaccinale contre la Covid-19 et le passe sanitaire. Le COURRIER DE L’OUEST s’associe au lynchage public ciblant le CTIAP et son pharmacien responsable : Réponse au COURRIER DE L’OUEST » (cliquer ici).

 

Cette journaliste, Mélanie MAROIS, ose écrire : « le responsable de pharmacovigilance au centre hospitalier de Cholet n’ayant pas répondu à nos sollicitations ».

 

Or, ces « sollicitations » datent de quand ? Elles auraient été effectuées par quels moyens ? Comment cette journaliste peut-elle être certaine que j’ai reçu ses « sollicitations » ? Etc. ?

 

Cette journaliste va même jusqu’à affirmer que je « réside » à « Cholet ». Il ne manquerait plus qu’elle livre mon adresse.

 

Dans cet article, à charge, cette journaliste n’a pas jugé utile de rappeler tous les travaux que j’ai effectués durant de nombreuses années dans le seul intérêt des patients et des personnes humaines en général ; ce que ledit tribunal correctionnel a, lui-même, salué en m’invitant à poursuivre dans cette voie.

 

Sauf erreur de ma part, le Courrier de l’Ouest et Ouest-France n’ont pas jugé utile d’informer le public sur notamment mon audition, le 8 avril 2022, par l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) dans le cadre d’une enquête demandée par la Commission des affaires sociales du Sénat. Cette enquête concerne les « Effets indésirables des vaccins contre la Covid-19 et système de pharmacovigilance français » (cliquer ici). Mon rapport, transmis à l’OPECST, est désormais disponible dans le livre publié sous le titre « Vaccins contre la Covid-19 : L’impossible consentement ». Là, aussi, pas un mot dans ces journaux concernant la parution de cet ouvrage (sauf erreur de ma part).

 

Ces journalistes publient donc des informations inexactes, des approximations, des raccourcis à mon égard.

 

Il s'agit seulement d'un aperçu, non exhaustif, des méthodes utilisées par le Courrier de l’Ouest, dont les articles sont diffusés sur internet par Ouest-France. Des méthodes qui notamment pourraient porter atteinte à l’honneur et à la réputation d’une personne ; sans que cette dernière ne soit en mesure d’apporter une réponse contradictoire et utile.

 

Ces deux journaux m’avaient déjà refusé des droits de réponse suite à des attaques subies par le CTIAP du centre hospitalier de Cholet. Ces attaques ont été diffusées dans leurs colonnes ; ces attaques faisant suite aux informations objectives et vérifiables, concernant le rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19, qui ont été publiées par le CTIAP.

 

Le sens des mots et la complexité du raisonnement seraient hors de portée de certaines personnes.

 

Ces trois journalistes du Courrier de l’Ouest, auteurs des écrits qui pourraient me salir publiquement, devraient réunir leurs trois Curriculum vitae (C.V.) ; C.V. que je ne connais pas. Une fois ces trois C.V. réunis dans un document unique, ces trois journalistes devraient comparer ce document avec mon propre C.V. (cliquer ici).

 

Enfin, il y a lieu de rappeler que depuis plusieurs mois, j’ai décidé de ne plus accorder aucun entretien à ces deux journaux ; malgré leurs sollicitations. Car, ils ont notamment contribué à diffuser des informations sur le rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19 qui ne sont ni claires, ni loyales, ni appropriées comme l'exige pourtant la loi (au sens large). Pis encore, ils ont refusé de publier des réponses contradictoires et utiles. Un tel constat est de nature à vicier le consentement, censé être libre et éclairé, des personnes ; ce consentement étant au rang des libertés fondamentales. Un tel bilan est donc susceptible de porter atteinte à la dignité de la personne humaine.