Hier, samedi 7 mai 2022, je découvre en fin de
journée l’article publié sur internet (ce même samedi, à 16h01) par le journal Le Courrier de l’Ouest. Cet article est diffusé en ligne par le journal Ouest-France. Il est signé par Madame Mélanie MAROIS.
Le titre de cet article est : « Législatives. Pharmacien à l’hôpital
de Cholet, Amine Umlil annonce sa candidature sur Twitter ».
Que vient faire « l’hôpital de Cholet » dans cette affaire ?
De même, cet article utilise une photo qui a
été prise, il y a plusieurs mois par un autre journaliste du Courrier de l’Ouest, dans le cadre d’un autre sujet qui n’a aucun
rapport avec lesdites élections législatives. De plus, cette photo est
publiée sans aucune autorisation préalable.
Cet article soutient : « Fer de lance de la contestation contre
les mesures sanitaires édictées par le gouvernement pendant la crise du
Covid-19, le choletais Amine Umlil (…) ».
L’auteur semble confondre « mesures sanitaires » avec « obligation
vaccinale contre la Covid-19 ».
Cet article affirme : « On sait que le pharmacien a soutenu Ensemble
pour les libertés, mouvement anti-pass sanitaire fondé par Martine Wonner,
psychiatre et députée de la 4e circonscription du Bas-Rhin ».
Alors que, si je sais qui est Madame le Docteur Martine WONNER, j’ignorais
même l’existence de cet « Ensemble
pour les libertés ». Je n’ai donc
jamais « soutenu » un tel mouvement dont j’ignorais même la naissance.
Mieux encore, cet article poursuit : « Durant la campagne présidentielle,
Amine Umlil a également manifesté son soutien à Marine Le Pen, la candidate du Rassemblement
national (RN) (…) » ;
et se lance dans un développement concernant une candidate de ce mouvement.
Une telle déduction trouverait sa source
dans une tribune que j’ai publiée, le 17 avril 2022, dans le journal FranceSoir
sous le titre : « Atteinte
à la dignité de la personne humaine sous l’empire d’Emmanuel Macron : une
dignité que Marine Le Pen propose de rétablir » (cliquer ici). Manifestement, selon cette
journaliste du Courrier
de l’Ouest, l’analyse d’un fait vérifiable
se transforme en « soutien ».
Ensuite, cet article indique : « Pour mémoire, Amine Umlil a été condamné pour injure publique [en rouge] à l’encontre
du directeur et du DRH de l’hôpital de Cholet, le 28 avril dernier par le tribunal
correctionnel d’Angers. Dans un article publié le 17 août 2021, sur le blog du
Centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques (CTIAP)
qu’il anime, il les avait comparés à des médecins nazis ». Cet article renvoie vers un autre article publié,
le 28 avril 2022 par un autre journaliste du Courrier de l’Ouest (Monsieur
Cyprien MERCIER), sous le titre « Il compare la direction de l’hôpital
au régime nazi : le « Didier Raoult choletais » condamné ». Ce Monsieur Cyprien MERCIER soutient : « Connu pour ses positions comparables à
celles du Pr Didier Raoult, proche du média complotiste et covido-sceptique France
Soir, récent soutien de Marine Le Pen, le pharmacien (…) ». Présent à la même audience, le journaliste d’Ouest-France, lui, a évité une telle dérive, et c’est peu dire.
Or, le Courrier
de l’Ouest omet de préciser ce qu’il ne peut ignorer : un appel de cette décision a été interjeté. Et, il évite de rappeler le compte-rendu d’audience
publié, le 1er mai 2022, par le CTIAP du centre hospitalier de
Cholet sous le titre « Obligation
vaccinale contre la Covid-19 et sauvegarde de la dignité de la personne humaine.
Audience du 28 avril 2022 au Tribunal judiciaire (correctionnel) d’Angers :
bref compte-rendu et suite » (cliquer ici). Un compte-rendu qui rappelle ce que le tribunal a, lui-même, indiqué
une fois la décision lue.
La journaliste du Courrier de l’Ouest,
Mélanie MAROIS, continue : « Il
a aussi contesté, devant la justice, la mise en œuvre de l’obligation vaccinale
contre la Covid-19 au sein de l’établissement hospitalier. Il a été débouté par le Conseil d’État [en rouge] le 22
avril » ; sans mentionner des faits
importants relevés lors de cette procédure.
Dès le mois d’août 2021, un autre journaliste du Courrier de l’Ouest, Monsieur Alexandre BLAISE, avait
usé de telles méthodes. Je n’avais pas manqué de lui répondre dans un article
publié, le 15 août 2021, sous le titre « Obligation vaccinale contre la Covid-19 et le passe
sanitaire. Le COURRIER DE L’OUEST s’associe au lynchage public ciblant le CTIAP
et son pharmacien responsable : Réponse au COURRIER DE L’OUEST » (cliquer ici).
Cette journaliste, Mélanie MAROIS, ose écrire : « le responsable de pharmacovigilance au
centre hospitalier de Cholet n’ayant pas répondu à nos sollicitations ».
Or, ces « sollicitations » datent de quand ? Elles auraient été effectuées par quels moyens ? Comment cette journaliste peut-elle être certaine que j’ai reçu ses « sollicitations » ? Etc. ?
Cette journaliste va même jusqu’à affirmer que je « réside » à « Cholet ». Il ne manquerait plus qu’elle livre mon adresse.
Dans cet article, à charge, cette journaliste
n’a pas jugé utile de rappeler tous les travaux que j’ai effectués
durant de nombreuses années dans le seul intérêt des patients et des personnes
humaines en général ; ce que ledit tribunal correctionnel a, lui-même,
salué en m’invitant à poursuivre dans cette voie.
Sauf erreur de ma part, le Courrier de l’Ouest et Ouest-France n’ont pas jugé utile d’informer le public
sur notamment mon audition, le 8 avril 2022, par l’Office parlementaire d’évaluation
des choix scientifiques et technologiques (OPECST) dans le cadre d’une enquête
demandée par la Commission des affaires sociales du Sénat. Cette enquête
concerne les « Effets
indésirables des vaccins contre la Covid-19 et système de pharmacovigilance
français » (cliquer ici). Mon rapport, transmis à l’OPECST, est
désormais disponible dans le livre publié sous le titre « Vaccins contre la Covid-19 : L’impossible
consentement ». Là, aussi, pas
un mot dans ces journaux concernant la parution de cet ouvrage (sauf erreur de
ma part).
Ces journalistes publient donc des informations
inexactes, des approximations, des raccourcis à mon égard.
Il s'agit seulement d'un aperçu, non exhaustif, des méthodes
utilisées par le Courrier
de l’Ouest, dont les articles sont diffusés sur
internet par Ouest-France. Des méthodes qui notamment pourraient porter atteinte
à l’honneur et à la réputation d’une personne ; sans que cette dernière ne
soit en mesure d’apporter une réponse contradictoire et utile.
Ces deux journaux m’avaient déjà refusé des
droits de réponse suite à des attaques subies par le CTIAP du centre
hospitalier de Cholet. Ces attaques ont été diffusées dans leurs colonnes ; ces attaques faisant suite aux informations
objectives et vérifiables, concernant le rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19, qui ont été publiées par le CTIAP.
Le sens des mots et la complexité du raisonnement
seraient hors de portée de certaines personnes.
Ces trois journalistes du Courrier de l’Ouest, auteurs des écrits qui pourraient me salir publiquement,
devraient réunir leurs trois Curriculum
vitae (C.V.) ; C.V. que je ne connais
pas. Une fois ces trois C.V. réunis dans un document unique, ces trois journalistes
devraient comparer ce document avec mon propre C.V. (cliquer ici).
Enfin, il y a lieu de rappeler que depuis plusieurs
mois, j’ai décidé de ne plus accorder aucun entretien à ces deux
journaux ; malgré leurs sollicitations. Car, ils ont notamment contribué à
diffuser des informations sur le rapport bénéfice/risque des vaccins contre
la Covid-19 qui ne sont ni claires, ni loyales, ni appropriées comme l'exige pourtant la loi (au sens large). Pis encore, ils ont refusé de publier des réponses contradictoires et utiles. Un tel
constat est de nature à vicier le consentement, censé être libre et
éclairé, des personnes ; ce consentement étant au rang des libertés
fondamentales. Un tel bilan est donc susceptible de porter atteinte à la
dignité de la personne humaine.
Bravo!
RépondreSupprimerCes journalistes et tant d’autres n’ont rien à faire avec le journalisme.
RépondreSupprimerIls me dégoûtent comme beaucoup d’autres.
Un métier noble autrefois!
Raison d’aller chercher l’info ailleurs, hélas.
Aucune crédibilité à leur accorder.
Les gens ne sont pas c…« They are not born yesterday »
« La vérité toute nue est-elle bien foutue ?…
RépondreSupprimerOu mensonge bien habillé »