lundi 13 juin 2022

Ma candidature aux élections législatives 2022 : compte-rendu, résultat et analyse

 

Le 10 mai 2022, j’ai annoncé ma candidature aux élections législatives, dans la quatrième circonscription du département de la Vendée (région des Pays-de-la Loire), ainsi que son fondement (cliquer ici). Cette candidature a été menée avec Madame Édith ONDET qui avait exercé dans un hôpital public.

Un compte-rendu non exhaustif du déroulement de ces élections est proposé dans ce qui suit.

Le premier tour de ces élections a eu lieu le 12 juin 2022. Le résultat, concernant cette candidature, est le suivant : 1,30% (630 voix) des Exprimés (cliquer ici). Ce résultat semble se situer dans la moyenne obtenue par le parti DEBOUT LA FRANCE. Il contribue au maintien de ce parti.

Je remercie vivement tous les Vendéens qui nous ont accordé leur confiance lors de ce vote malgré plusieurs faits qui méritent d’être rappelés : l’annonce tardive de cette candidature ; le fait que je ne réside pas en Vendée ; la non-réception des documents nécessaires pour pouvoir tracter ; l’absence de notre bulletin de vote dans les enveloppes adressées aux citoyens ; la non-livraison de ce bulletin de vote dans certaines communes ; etc. Des problèmes inattendus dont certains ont été résolus à la dernière minute grâce à l’aide précieuse des membres de DEBOUT LA FRANCE auxquels je renouvelle mes remerciements. Et le collage des affiches n’aurait pas été possible sans le dévouement de notamment ma co-équipière Madame Édith ONDET, que je remercie à nouveau.

Je remercie DEBOUT LA FRANCE de m’avoir sollicité pour ces élections tout en respectant mon indépendance (n'étant adhérent à aucun parti politique, à aucune organisation syndicale, etc.). Cela m’a permis de vivre ma première et enrichissante expérience électorale en tant que candidat.

J’adresse mes félicitations à tous les autres candidats, et en particulier aux deux candidates qualifiées pour le second tour : Madame le Maire des Herbiers (Divers droite) et Madame la Députée sortante (Ensemble !).

Par manque de temps, ma campagne électorale en Vendée s’est limitée à une conférence dans Les Herbiers, trois articles dans la presse suite aux sollicitations des journalistes (Ouest-France Les Herbiers, FranceSoir, LeMediaEn442), et un passage de quelques secondes choisies par Télé Vendée (nos deux actions principales occultées) sur un échange d’une dizaine de minutes.

Les médias traditionnels (dominants) ont fait le choix de n’inviter que les candidats des grands partis politiques : des machines électorales qui sont déjà bien visibles dans l’ère des communicants ; et qui sont opérationnelles au sein de ce régime des partis, notamment présidentiel.

Ce sont des journalistes qui semblent décider du programme électoral, des idées qui méritent d’être rendues visibles ou non, de la promotion de tel ou tel candidat, etc.

Lors de ces élections, en vain, nous avons proposé un débat sur l’obligation vaccinale contre la Covid-19 et sur ses avatars les passes sanitaire et vaccinal ; sur le choc structurel dont l’hôpital public a besoin ; sur la question des ʺdéserts médicauxʺ ; sur la méthode qu’un député devrait adopter une fois élu ; sur la présence de ce député lors du vote des lois importantes ; etc. Les débats sur ces sujets ne semblent pas envisageables, surtout durant une campagne électorale.

Par exemple, quels sont les médias qui ont informé la population des auditions menées par l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) sur les « Effets indésirables des vaccins contre la Covid-19 et le système de pharmacovigilance français » ? Pourtant cette enquête a été demandée par la Commission des affaires sociales du Sénat suite à une pétition citoyenne. Quels sont les médias qui ont diffusé l’audition publique, contradictoire et utile, qui a eu lieu au Sénat le 24 mai 2022 ? Quels sont les médias qui ont relayé le rapport d’étape publié le 9 juin 2022 par l’OPECST ?

Il y a lieu de s’interroger sur les réelles causes de l’importante et inédite abstention sous la Ve République d’une part, et sur ce qui pourrait être considéré comme une sorte de variante du vote censitaire d'autre part.

Nous pensons que le système électoral français devrait, sans délai, envisager une sérieuse réforme. Il s'agit d'une urgence démocratique.

L’une des solutions utiles consisterait à donner naissance à un découpage des pratiques politiques fondé sur les idées ; et non plus sur les traditionnelles étiquettes politiques qui limitent, voire empêchent, toute coopération nécessaire à la construction et à la mise en œuvre effective de projets d’intérêt général. Une telle segmentation, construite sur les projets et leur conduite, permettra à plusieurs partis politiques d’œuvrer dans le même sens, de façon synergique, pour le bien de notre pays ; au lieu de s'enliser dans des oppositions quasi-systématiques.

La finalité ultime de la politique devrait rechercher le bien commun et le bonheur de toute personne humaine.

Notre candidature à ces élections législatives avait pour but de continuer d’informer la population sur des thèmes importants relevant de la santé notamment. Il reste à espérer que la future Assemblée nationale saura jouer son rôle consacré par la Constitution ; et notamment en se saisissant de ces thèmes, en restaurant le débat contradictoire, et en contrôlant efficacement l’exécutif.

En ce qui nous concerne, notre travail, mené depuis de nombreux mois, a produit des résultats mesurables en termes d’information, de formation et d’alerte des institutions et de la population. Par exemple, plusieurs points, relevés dans notre rapport remis aux rapporteurs et certaines informations orales livrées lors de notre audition par l’OPECST, sont repris dans ledit rapport d’étape parlementaire susmentionné qui a été publié le 9 juin 2022. Il y a lieu de citer notamment ce qui suit :

 

« La campagne de vaccination a été source d’inquiétudes pour une partie de la population, car les vaccins utilisés ont été développés à une vitesse inédite et grâce à de nouvelles plateformes vaccinales. L’Office regrette que la communication institutionnelle sur les effets indésirables ait été trop discrète par rapport à la communication incitant à la vaccination. La confiance des citoyens ne peut être bâtie qu’à partir d’un discours de vérité sur les effets indésirables et d’une démarche de pédagogie et de transparence de l’ensemble des professionnels de santé et des autorités sanitaires. Cela passe également par une reconnaissance et un accompagnement des personnes qui souffrent d’effets indésirables, trop marginalisées aujourd’hui. » (cliquer ici ou ici).

 

 

 

 

Amine UMLIL

 

 

 

 




mardi 10 mai 2022

Élections législatives 2022 : le fondement d’une candidature

 

Sollicité dans le cadre des prochaines élections législatives prévues le 12 juin 2022 et le 19 juin 2022, j’ai accepté de présenter ma candidature dans la quatrième circonscription du département (85) de la Vendée (région des Pays-de-la Loire).

 

« PROTÉGEONS LA SANTÉ DES FRANÇAIS : Suppression définitive de tout passe sanitaire ou vaccinal et réintégration des soignants exclus » est le thème principal qui a motivé ma décision. Car, il vise à sauvegarder la dignité de la personne humaine.

 

Ce thème est totalement concordant avec mon engagement constant depuis le début de mon exercice professionnel en tant que pharmacien ; un métier que j’ai choisi par conviction et non par opportunité. Comme cela est consacré notamment par la loi (au sens large) et par les écritures de l’ordre national des pharmaciens, l’indépendance professionnelle du pharmacien n’est pas là pour le confort du praticien, mais pour la protection du public contre notamment des choix publics et/ou privés qui sont de nature à porter atteinte à l’intérêt des patients et des personnes humaines en général. Les études de droit, notamment en droit de la santé, sont venues renforcer davantage ma connaissance des différentes facettes du domaine complexe du médicament et du système de santé. Cet engagement a donc toujours poursuivi un seul but : celui de l’intérêt général comme cela est attesté par de nombreux documents, indépendants et réglementaires en tout premier lieu tels que ceux établis par les corps d’inspection.

 

Une récente preuve de cet investissement trouve sa source dans les différentes actions d’information indépendante, destinées aux professionnels de santé et au public notamment, qui ont été mises en œuvre de façon effective depuis la survenue de la Covid-19 (maladie liée au coronavirus : le Sars-CoV-2), et en particulier depuis l’instauration de l’obligation vaccinale contre la Covid-19.

 

« PROTÉGEONS LA SANTÉ DES FRANÇAIS : Suppression définitive de tout passe sanitaire ou vaccinal et réintégration des soignants exclus » est l’engagement pris, de façon claire et continue, par Monsieur Nicolas DUPONT-AIGNAN.

 

Par conséquent, et suite à l’aimable proposition de DEBOUT LA FRANCE qui vient puiser dans les ressources disponibles sur notre territoire, j’ai décidé de mettre à disposition mes connaissances et compétences acquises au service de cet objectif commun dans le cadre d’une coopération inspirée des principes d’une structure matricielle ; tout en gardant mon indépendance à laquelle je suis attaché. En effet, je ne suis adhérent à aucun parti politique, à aucune organisation syndicale, à aucune autre entité.

 

Pouvoir devenir Député de la Nation nous permettra de porter nos arguments objectifs, vérifiables et indépendants au cœur de l’assemblée nationale : au cœur du législateur.

 

J’ai déjà transmis une partie de ces arguments lors de mon audition, le 8 avril 2022, par l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) dans le cadre de l’enquête demandée par la Commission des affaires sociales du Sénat. Cette enquête, diligentée suite à une pétition, concerne les « Effets indésirables des vaccins contre la Covid-19 et système de pharmacovigilance français ». Et à la demande de plusieurs citoyens venant de divers horizons, le rapport, que j’ai transmis à l’OPECST, est désormais disponible dans un livre paru sous le titre « Vaccins contre la Covid-19 : L’impossible consentement ».

 

Il y a lieu de rappeler, de façon non exhaustive, les récents risques d’atteintes à des valeurs sociales et à des principes pourtant protégés par notre corpus juridique. Ces risques sont notamment ceux concernant l’atteinte portée à l’inviolabilité et à l’indisponibilité du corps humain ; la violation de l’autonomie de la volonté de la personne humaine et du secret professionnel médical ; la tendance à la chosification de l’être humain ; la déformation de la définition même du mot « santé » ; l’interdiction à des patients d’accéder aux soins nécessaires en raison de leur état de santé et de leur statut vaccinal contre la Covid-19 ; le défaut d’information du public et la promotion du mésusage des médicaments illustrés, de façon magistrale, lors de la campagne de vaccination contre la Covid-19 ; l’exceptionnelle gravité et le caractère inédit de l’expérimentation menée avec ces vaccins contre la Covid-19 depuis la consécration du Code de Nuremberg dont l’esprit a pourtant irrigué notre système juridique, et sans la garantie d’un consentement libre et éclairé des personnes humaines alors même que ce consentement est mis au rang des libertés fondamentales ; le relevé de plusieurs faits qui sont de nature à vicier ce consentement, et sont donc susceptibles de porter atteinte à la dignité de la personne humaine ; l’atteinte à l’indépendance professionnelle du médecin et du pharmacien, une indépendance qui, comme souligné précédemment, n’est pas là pour le confort du praticien mais pour la protection du public ; la suspension des soignants et des autres professionnels tels que les pompiers dans le cadre de l'obligation vaccinale contre la Covid-19, l’arrêt immédiat de leur rémunération, l’interdiction de toute autre activité rémunérée aux professionnels de santé hospitaliers suspendus, sanctions prises de façon extrajudiciaire ; discrimination fondée sur l’état de santé de la personne ; des lois votées avec peu de députés, notamment, présents ; etc.

 

Face à ces dérives et velléités autoritaires qui nous menacent, eu égard au trouble semé de façon arbitraire dans notre existence par ladite ʺgestionʺ de la Covid-19, vu le pervertissement du sens des mots et le travestissement du raisonnement, il appartient aux citoyens de se positionner avec responsabilité afin de choisir les valeurs auxquelles ils expriment leur attachement. Il revient aux citoyens de décider de la qualité de vie et du type de société qu’ils souhaitent léguer à leurs descendants.

 

De ces objectifs précis et concrets, ci-dessus exprimés sans détour, jaillissent le sens et la portée de la présente candidature qui est, par ailleurs, dénuée de tout lien ou conflit d’intérêts.

 

Lors de ces prochaines élections législatives, il y a donc lieu d’opérer ce choix face aux enjeux qui se profilent ; et qui pourraient nous propulser vers un avenir incertain, voire dangereux.

 

 

 

 

Amine UMLIL

 

 

 

 

Pièce jointe : Extrait du Curriculum vitae (C.V.) (cliquer ici)

 

 

 

 

 



dimanche 8 mai 2022

Les méthodes du journal le Courrier de l’Ouest (diffusé sur internet par Ouest-France)

 

Hier, samedi 7 mai 2022, je découvre en fin de journée l’article publié sur internet (ce même samedi, à 16h01) par le journal Le Courrier de l’Ouest. Cet article est diffusé en ligne par le journal Ouest-France. Il est signé par Madame Mélanie MAROIS.

 

Le titre de cet article est : « Législatives. Pharmacien à l’hôpital de Cholet, Amine Umlil annonce sa candidature sur Twitter ».

 

Que vient faire « l’hôpital de Cholet » dans cette affaire ?

 

De même, cet article utilise une photo qui a été prise, il y a plusieurs mois par un autre journaliste du Courrier de l’Ouest, dans le cadre d’un autre sujet qui n’a aucun rapport avec lesdites élections législatives. De plus, cette photo est publiée sans aucune autorisation préalable.

 

Cet article soutient : « Fer de lance de la contestation contre les mesures sanitaires édictées par le gouvernement pendant la crise du Covid-19, le choletais Amine Umlil (…) ».

 

L’auteur semble confondre « mesures sanitaires » avec « obligation vaccinale contre la Covid-19 ».

 

Cet article affirme : « On sait que le pharmacien a soutenu Ensemble pour les libertés, mouvement anti-pass sanitaire fondé par Martine Wonner, psychiatre et députée de la 4e circonscription du Bas-Rhin ».

 

Alors que, si je sais qui est Madame le Docteur Martine WONNER, j’ignorais même l’existence de cet « Ensemble pour les libertés ». Je n’ai donc jamais « soutenu » un tel mouvement dont j’ignorais même la naissance.

 

Mieux encore, cet article poursuit : « Durant la campagne présidentielle, Amine Umlil a également manifesté son soutien à Marine Le Pen, la candidate du Rassemblement national (RN) (…) » ; et se lance dans un développement concernant une candidate de ce mouvement.

 

Une telle déduction trouverait sa source dans une tribune que j’ai publiée, le 17 avril 2022, dans le journal FranceSoir sous le titre : « Atteinte à la dignité de la personne humaine sous l’empire d’Emmanuel Macron : une dignité que Marine Le Pen propose de rétablir » (cliquer ici). Manifestement, selon cette journaliste du Courrier de l’Ouest, l’analyse d’un fait vérifiable se transforme en « soutien ».

 

Ensuite, cet article indique : « Pour mémoire, Amine Umlil a été condamné pour injure publique [en rouge] à l’encontre du directeur et du DRH de l’hôpital de Cholet, le 28 avril dernier par le tribunal correctionnel d’Angers. Dans un article publié le 17 août 2021, sur le blog du Centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques (CTIAP) qu’il anime, il les avait comparés à des médecins nazis ». Cet article renvoie vers un autre article publié, le 28 avril 2022 par un autre journaliste du Courrier de l’Ouest (Monsieur Cyprien MERCIER), sous le titre « Il compare la direction de l’hôpital au régime nazi : le « Didier Raoult choletais » condamné ». Ce Monsieur Cyprien MERCIER soutient : « Connu pour ses positions comparables à celles du Pr Didier Raoult, proche du média complotiste et covido-sceptique France Soir, récent soutien de Marine Le Pen, le pharmacien (…) ». Présent à la même audience, le journaliste d’Ouest-France, lui, a évité une telle dérive, et c’est peu dire.

 

Or, le Courrier de l’Ouest omet de préciser ce qu’il ne peut ignorer : un appel de cette décision a été interjeté. Et, il évite de rappeler le compte-rendu d’audience publié, le 1er mai 2022, par le CTIAP du centre hospitalier de Cholet sous le titre « Obligation vaccinale contre la Covid-19 et sauvegarde de la dignité de la personne humaine. Audience du 28 avril 2022 au Tribunal judiciaire (correctionnel) d’Angers : bref compte-rendu et suite » (cliquer ici). Un compte-rendu qui rappelle ce que le tribunal a, lui-même, indiqué une fois la décision lue.

 

La journaliste du Courrier de l’Ouest, Mélanie MAROIS, continue : « Il a aussi contesté, devant la justice, la mise en œuvre de l’obligation vaccinale contre la Covid-19 au sein de l’établissement hospitalier. Il a été débouté par le Conseil d’État [en rouge] le 22 avril » ; sans mentionner des faits importants relevés lors de cette procédure.

 

Dès le mois d’août 2021, un autre journaliste du Courrier de l’Ouest, Monsieur Alexandre BLAISE, avait usé de telles méthodes. Je n’avais pas manqué de lui répondre dans un article publié, le 15 août 2021, sous le titre « Obligation vaccinale contre la Covid-19 et le passe sanitaire. Le COURRIER DE L’OUEST s’associe au lynchage public ciblant le CTIAP et son pharmacien responsable : Réponse au COURRIER DE L’OUEST » (cliquer ici).

 

Cette journaliste, Mélanie MAROIS, ose écrire : « le responsable de pharmacovigilance au centre hospitalier de Cholet n’ayant pas répondu à nos sollicitations ».

 

Or, ces « sollicitations » datent de quand ? Elles auraient été effectuées par quels moyens ? Comment cette journaliste peut-elle être certaine que j’ai reçu ses « sollicitations » ? Etc. ?

 

Cette journaliste va même jusqu’à affirmer que je « réside » à « Cholet ». Il ne manquerait plus qu’elle livre mon adresse.

 

Dans cet article, à charge, cette journaliste n’a pas jugé utile de rappeler tous les travaux que j’ai effectués durant de nombreuses années dans le seul intérêt des patients et des personnes humaines en général ; ce que ledit tribunal correctionnel a, lui-même, salué en m’invitant à poursuivre dans cette voie.

 

Sauf erreur de ma part, le Courrier de l’Ouest et Ouest-France n’ont pas jugé utile d’informer le public sur notamment mon audition, le 8 avril 2022, par l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) dans le cadre d’une enquête demandée par la Commission des affaires sociales du Sénat. Cette enquête concerne les « Effets indésirables des vaccins contre la Covid-19 et système de pharmacovigilance français » (cliquer ici). Mon rapport, transmis à l’OPECST, est désormais disponible dans le livre publié sous le titre « Vaccins contre la Covid-19 : L’impossible consentement ». Là, aussi, pas un mot dans ces journaux concernant la parution de cet ouvrage (sauf erreur de ma part).

 

Ces journalistes publient donc des informations inexactes, des approximations, des raccourcis à mon égard.

 

Il s'agit seulement d'un aperçu, non exhaustif, des méthodes utilisées par le Courrier de l’Ouest, dont les articles sont diffusés sur internet par Ouest-France. Des méthodes qui notamment pourraient porter atteinte à l’honneur et à la réputation d’une personne ; sans que cette dernière ne soit en mesure d’apporter une réponse contradictoire et utile.

 

Ces deux journaux m’avaient déjà refusé des droits de réponse suite à des attaques subies par le CTIAP du centre hospitalier de Cholet. Ces attaques ont été diffusées dans leurs colonnes ; ces attaques faisant suite aux informations objectives et vérifiables, concernant le rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19, qui ont été publiées par le CTIAP.

 

Le sens des mots et la complexité du raisonnement seraient hors de portée de certaines personnes.

 

Ces trois journalistes du Courrier de l’Ouest, auteurs des écrits qui pourraient me salir publiquement, devraient réunir leurs trois Curriculum vitae (C.V.) ; C.V. que je ne connais pas. Une fois ces trois C.V. réunis dans un document unique, ces trois journalistes devraient comparer ce document avec mon propre C.V. (cliquer ici).

 

Enfin, il y a lieu de rappeler que depuis plusieurs mois, j’ai décidé de ne plus accorder aucun entretien à ces deux journaux ; malgré leurs sollicitations. Car, ils ont notamment contribué à diffuser des informations sur le rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19 qui ne sont ni claires, ni loyales, ni appropriées comme l'exige pourtant la loi (au sens large). Pis encore, ils ont refusé de publier des réponses contradictoires et utiles. Un tel constat est de nature à vicier le consentement, censé être libre et éclairé, des personnes ; ce consentement étant au rang des libertés fondamentales. Un tel bilan est donc susceptible de porter atteinte à la dignité de la personne humaine.

 

 

 





lundi 25 avril 2022

LIVRE. « Vaccins contre la Covid-19 : L’impossible consentement ». Rapport « Effets indésirables des vaccins contre la Covid-19 et système de pharmacovigilance français » transmis à l’OPECST suite à l’enquête demandée par le Sénat

 

Livre paru le 22 avril 2022

Éditions BoD

Dans quelques jours, il sera disponible en versions

papier et numérique

Toutes les librairies & en ligne

(Amazon, Decitre, Fnac, Chapitre, Cultura, etc.)

ISBN 9782322408306

 

 


 

Vaccins contre la Covid-19

 

L’impossible consentement

 

 

 

Rapport

 

« Effets indésirables des vaccins contre la Covid-19 et système de pharmacovigilance français »

 

 

Transmis à l’OPECST suite à l’enquête

demandée par le Sénat

 

 

Amine UMLIL

 

 

 


Résumé

 

Suite à une pétition soulevant des interrogations sur les vaccins contre la Covid-19 (maladie liée au coronavirus : le Sars-CoV-2), une enquête est demandée à l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) par la Commission des affaires sociales du Sénat. Cette étude concerne les « effets indésirables des vaccins contre la Covid-19 et système de pharmacovigilance français ».

Dans ce cadre, à la demande de plusieurs personnes dont des parlementaires et autres élus, Amine Umlil est auditionné, le 8 avril 2022 à partir de 9 heures, par des sénateurs et des députés. Avant cette audition, il transmet un rapport circonstancié aux parlementaires désignés rapporteurs. Ce rapport est une synthèse qui propose des éléments utiles, extraits des documents publiés par les autorités ad hoc, vérifiables, indépendants et réglementaires en tout premier lieu. Ces données ont été relevées, en temps réel, depuis plusieurs mois et notamment depuis le début de cette vaccination contre la Covid-19. Les faits sont de nature à vicier le consentement des personnes, et sont donc susceptibles de porter atteinte à la dignité de la personne humaine.

Sollicité par plusieurs citoyens venant de divers horizons, ce rapport est désormais disponible dans le présent ouvrage. Ce travail peut également constituer un repère utile à toute personne amenée à prendre une décision.

 

 



Auteur

 

Amine Umlil est docteur en pharmacie, praticien hospitalier, ancien interne des centres hospitaliers universitaires (CHU) de Toulouse, ancien étudiant à la faculté de pharmacie d’Angers. Il est titulaire de plusieurs autres diplômes universitaires. Il a publié dans différentes revues scientifiques et enseigné dans des instituts de formation en soins infirmiers. Il est responsable de la pharmacovigilance, de la coordination des vigilances sanitaires, et du centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques (CTIAP). Il est également titulaire d’une licence de droit et d’un master 2 en droit de la santé.

 











samedi 16 avril 2022

Atteinte à la dignité de la personne humaine sous l’empire d’Emmanuel MACRON : une dignité que Marine LE PEN propose de rétablir

 

« Luchar es mi destino.

 

« Cette nuit, j’ai rêvé du mur. Ce mur auquel j’ai parlé tout au long de l’été dernier. » (Entre Dieu et moi, c’est fini, de Katarina Mazetti). Un mur de verre à travers lequel j’ai aperçu de loin mon ami Amine Leblanc.

En réalité, ce mur est sourd et muet. Je n’ai su lui parler qu’avec mon regard. Il n’a pu me répondre qu’en me laissant entrevoir de brèves images en temps réel. Des images tantôt en couleurs, tantôt en noir et blanc. Une étrange distinction qui laisserait supposer que le blanc et le noir ne seraient point des couleurs. Une classification, une standardisation, une mise en relief comme si l’on voulait opposer le white au black.

Ce mur-écran, c’est comme un voyage sur place, dans le temps et dans l’espace, qui devient possible par un simple regard à travers ce mur-frontière. Ce mur-prison. Impuissant, je me suis contenté d’observer les courtes séquences qui me sont présentées dans le désordre. Des événements qui se déroulent au pays des Codes-Bleu-Marianne. Un paysage situé de l’autre côté de la rive. De l’autre côté de ce mur-miroir. Un film long, et en même temps intense, que j’ai regardé durant l’été dernier, la gorge serrée. Et cette nuit, dans mon rêve, j’ai revu cette scène qui ne cesse de me hanter.

(…). »

Le Spectre de l’Isotèle, Amine UMLIL

 

 

 

 

C’est en ma qualité de citoyen français, à l’« apparence arabo-musulmane » - expression empruntée à un homme politique français - et venant de l’autre côté de la Méditerranée il y a maintenant plus de 30 ans, que je souhaite publiquement m’exprimer quelques jours avant le vote du second tour de l’élection présidentielle prévu dimanche 24 avril 2022.

La France m’a chaleureusement accueilli et permis de construire un Curriculum vitae (C.V.) dont un extrait est disponible sur le site du CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques) du centre hospitalier de Cholet (cliquer ici). J’ai toujours mis à disposition, et en œuvre de façon effective, ces formations et compétences acquises en poursuivant un seul et exclusif but : celui de l’efficience (qualité, sécurité, coût) des soins notamment médicamenteux dispensés à toute personne humaine.

 Durant cette longue formation hospitalo-universitaire (« bac + 15 » avant de prétendre à un poste de praticien hospitalier ; « 3 ans » de licence dans une première faculté de droit ; « 2 ans » de Master en droit de la santé dans une seconde faculté de droit et à l’EHESP (école des hautes études en santé publique) ; soit près de « 20 ans »), menée en parallèle avec notamment des compétitions sportives (en particulier Football et Karaté Shotokan (cliquer ici)), je n’ai jamais subi de discrimination.

Une telle discrimination est venue, brutalement et de façon insidieuse, me percuter lors de mon exercice professionnel en tant que pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier au sein de l’hôpital public de Cholet. Mais, cette discrimination ne m’empêche pas de travailler et de vivre. J’ai appris à vivre avec cette discrimination eu égard à sa chronicité ; elle ne serait l’œuvre que de l’arbitraire. Elle ne serait que l’expression de la jalousie, la médiocrité, l’hypocrisie, l’incompétence, l’hostilité, la haine, la mauvaise foi, la calomnie, la xénophobie, etc. Ou peut-être, la matérialisation d’une volonté de ʺplaire au Maîtreʺ afin d’obtenir quelques avantages et servir des intérêts catégoriels et personnels.

Mais, je ne pense pas me tromper beaucoup en disant que je n’ai jamais été aussi discriminé, humilié, méprisé, violenté, etc. que sous l’empire du Président de la République, Monsieur Emmanuel MACRON. Néanmoins, cette fois, je me sens moins seul : cette discrimination, fondée sur l’état de santé de la personne humaine, cible tous mes concitoyens français. Lorsque nous sommes tous dans la galère, c’est que tout va bien.

Comme nombreux de mes concitoyens, et violemment, je me vois « socialement désactivé de façon extrajudiciaire ». Sans jugement ni même un entretien préalables, mes fonctions sont suspendues, ma rémunération est immédiatement interrompue, tout autre travail rémunéré m’est interdit. Le non-respect de cette interdiction de travail m’expose même à des sanctions pénales : amende, emprisonnement, condamnation à des travaux d’intérêt général.

Un criminel, lui, est présumé innocent avant d’être jugé par un tribunal impartial et tant que ce jugement n’est pas revêtu de l’autorité de la chose jugée (tant qu’il n’est pas devenu définitif). Lui, il a le droit de présenter sa défense avant la prononciation de la sanction. Une fois détenu, il est pris en charge, logé, nourri et peut travailler en vue de sa réinsertion.

Avec brutalité, une simple décision administrative, signée par un fonctionnaire zélé au C.V. inconnu, me propulse ainsi dans un monde jusqu’alors improbable, inattendu. Le séjour, qui se profile, est d’une durée indéterminée. L’horizon s’assombrit. Mais, je ne suis pas seul. Je rejoins la cohorte de toutes ces femmes et de tous ces hommes qui viennent d’être, eux aussi, déclarés socialement éteints, indésirables. Mais, ces Hommes sont intrinsèquement éclairés et demeurent profondément humains.

Soudainement, je suis mis dans un « état de nécessité » et ne peux m’empêcher de penser au juge Paul MAGNAUD.

Une image se dessine. Elle révèle une nouvelle forme de sanction. Une forme inédite de représailles. De maltraitance. Je suis mis dans une position indéfinie, attaché psychologiquement et de façon invisible par les conséquences escomptées, projetées, inévitables, de l’interdiction de tout travail rémunéré. Une sangle mentale qui me projette l’impossibilité de pouvoir continuer à subvenir à mes besoins vitaux et non d’estime ; et à ceux de ma famille, une cible par ricochet. Une musique qui me chante : vous serez bientôt incapable d’accéder aux biens et aux services de première nécessité. Bientôt, vous allez pouvoir crever de faim. Ma position est figée de façon illimitée en espérant mon usure ; une perte de repères qui me conduirait à m’abandonner à mon invisible tortionnaire, à céder à ses désirs : à accepter de m’injecter, finalement, le produit expérimental.

Quelle différence entre cette image (ci-dessus décrite) et celle qui consiste à attacher une personne humaine (qui, elle, est condamnée suite à un procès équitable à la peine capitale) sur une chaise avant de lui injecter le produit fatal ?

Nombreux soignants, et autres professionnels tels que les pompiers, refusent cette injection expérimentale car ils semblent percevoir la mort au bout de la seringue.

Traitements inhumains et dégradants ? De la torture ? Une nouvelle forme de la peine capitale de nature psychologique et sociale ?

Sous l’empire d’Emmanuel MACRON, le « dernier jour du condamné, sans procès équitable, à la peine capitale de nature psychologique et sociale » semble désormais écrit.

De façon inattendue, de manière imprévisible, le pas est franchi.

Je me sens trahi.

Désormais, j’appartiens à ce nouveau groupe doté d’un statut particulier et placé hors de l’espèce humaine.

Brusquement, tout s’arrête donc. Impuissant, je ne peux que contempler ce long parcours hospitalo-universitaire qui vient d’être soudainement, et brutalement, malmené par un acte administratif qui ne semble pas émouvoir, outre mesure, les ʺSeigneursʺ du Conseil d’État. Un simple papier d’une seule page, nommé « Décision N°2021- X », me propulse ainsi dans une dimension aux contours incertains. Une exécution qui vient anéantir cette expérience professionnelle acquise et punir les enseignements dispensés par mes Maîtres de la faculté ; au détriment de l’usager du système de santé et de la collectivité. En quelques secondes, le temps s’arrête.

En pareilles circonstances, le calme et la patience sont de rigueur. Un regard dans le rétroviseur s’impose. Histoire de faire le point. Le temps de dresser un état des lieux et de repérer les différentes variables de la nouvelle équation soumise. Un instant pour tenter de comprendre. Un moment de réflexion qui cherche à dessiner le visage de cette nouvelle planète aux paysages étranges et insaisissables. Les premiers traits de ce visage révèlent la première des pauvretés, des inégalités, des vulnérabilités. Cette misère est celle du travestissement du sens des mots qui, combiné au pervertissement du raisonnement, constitue la source première dans laquelle la main invisible puise l’alinéation suprême de toute une population humaine.

Les faits relevés, en temps réel, depuis plusieurs mois pourraient bien révéler une affaire inédite dans l’histoire de la science moderne, de la médecine, de la pharmacie, du droit.

Le médecin aurait cédé la place au ʺvendeurʺ qui tombe même la chemise devant les caméras pour ʺdonner l’exempleʺ, pense-t-il.

Les « données acquises de la science », sur lesquelles le médecin fonde sa prescription, sont supplantées par des slogans.

À l’information médicale et pharmaceutique succède la communication commerciale et ses avatars politique, administratif, médiatique.

 

« Tous vaccinés, tous protégés » ;

 

« Vaccination. COVID19. Si vous avez des courbatures après le vaccin, pas d’inquiétude… c’est que vous avez trop pédalé ! Prenez rdv dès maintenant (…) » (avec une photo montrant des jeunes personnes pédalant à la surface de l’eau (mer ou rivière ?) ;

 

« Les vaccins ont des effets désirables » (avec une photo où l’on voit une jeune fille et un jeune garçon s’embrasser) ;

 

« Etc. ».

 

Autant d’affiches et bidouillages publicitaires, utilisant des techniques de vente et fonctionnant comme des hameçons, qui cherchent à ferrer des personnes humaines, dont les plus jeunes d’entre elles, pour le restant de leurs vies.

Mais, en cas d’effets indésirables notamment graves, par exemple en cas de « décès » constaté après l’injection expérimentale, le vendeur exige « la preuve diabolique » aux personnes qui affirment avoir été victimes de leurs méthodes déloyales, plus même que du produit expérimental lui-même.

Sous la présidence d’Emmanuel MACRON, une nouvelle parenthèse dans notre corpus juridique, hérité du droit romain, aurait été, vigoureusement et dangereusement, ouverte.

Cette parenthèse est celle de l’impossible consentement.

Impossible eu égard aux incertitudes sur le rapport bénéfice/risque du produit expérimental d’une part ; et aux méthodes utilisées qui sont susceptibles de relever du dol (action du vendeur consistant à cacher à l’acheteur des éléments essentiels du produit en vente par mensonge, et/ou par manœuvres frauduleuses, et/ou par réticence afin de conclure la vente) et de la contrainte (violence) d'autre part.

L’information du public sur ce produit n’a été ni claire, ni loyale, ni appropriée, ni pérenne comme l’exige la loi (au sens large) et notamment le code de la santé publique. Une telle distorsion est susceptible de vicier le consentement de la personne qui est censé être libre et éclairé. Ce consentement, mis au rang des libertés fondamentales, est même renforcé lors des essais cliniques tels que ceux, toujours en cours, qui concernent ces vaccins contre la Covid-19.

Vicier ce consentement revient à porter atteinte aux principes protégés de l’inviolabilité, de l’indisponibilité, de l’inaliénabilité du corps humain ; au principe de l’autonomie de la volonté de la personne humaine.

En somme, vicier ce consentement revient à porter atteinte à la dignité de la personne humaine.

Lors de la ʺgestionʺ de la Covid-19 (maladie liée au coronavirus : le Sars-CoV-2), la France, et l’Occident en général, semble avoir subi le traitement jusqu’alors infligé à l’hémisphère Sud ; et que Jean Ziegler a décrit, dès 2005, dans l’EMPIRE DE LA HONTE. Il s’agit notamment la « soumission des peuples aux intérêts des grandes compagnies privées ». Dans ce livre, paru chez Fayard, l’auteur cite ce que Jean-Paul MARAT aurait publié dans L’Ami du peuple (le 26 juillet 1790), dans « un célèbre texte intitulé « Vrais moyens que le peuple soit heureux et libre » » :

 

« Le premier coup que les princes portent à la liberté n’est pas de violer avec audace les lois, mais de les faire oublier… Pour enchaîner les peuples, ils commencent par les endormir. »

 

Monsieur Emmanuel MACRON a réussi l’exploit d’arriver à adoucir mon regard, qui reste néanmoins vigilant, envers ce qui est désigné comme étant « l’extrême droite ». C’est dire à quel point je ressens la nausée, et c’est peu dire, envers la politique d’obligation vaccinale contre la Covid-19 directement imposée par une soi-disant ʺloiʺ qui heurte notre bloc de constitutionnalité, qui ne respecte pas le droit européen, qui viole les conventions internationales telles que la Convention d’Oviedo ; ou indirectement dictée via l’infâme passe sanitaire ou vaccinal.

Concernant ce consentement de la personne humaine, notre système juridique (composé de texte nationaux (français), régionaux (européens) et internationaux) est irrigué par le Code de Nuremberg. En ayant rappelé ce fait historique lors d’une réflexion sur ladite obligation vaccinale contre la Covid-19, je suis cité directement devant le tribunal correctionnel d’Angers (Maine-et-Loire) pour « Injures publiques » à l’encontre de deux « fonctionnaires » qui ʺse sententʺ visés.

Ce procès, au parfum de Nuremberg, est prévu le jeudi 28 avril 2022 à 14 heures (cliquer ici). Je suis « le prévenu », l’accusé.

Non, je ne pense donc pas me tromper beaucoup en disant que je n’ai jamais vu pareille atteinte à la dignité de la personne humaine, jamais subi une telle discrimination, que sous l’empire d’Emmanuel MACRON.

Madame Marine LE PEN, elle, propose de rétablir cette dignité perdue pour toute personne concernée. Aujourd’hui, et dans l’urgence, c’est ce seul point qui compte désormais. Elle, au moins, n’a jamais été en position de gouverner la France ; et à ce titre, elle pourrait bénéficier du doute et prétendre à une présomption simple de bonne foi jusqu’à preuve du contraire. D’autant plus qu’Emmanuel MACRON ne semble pas vouloir fermer ladite parenthèse ouverte qui pourrait nous amener vers un avenir incertain, voire dangereux.

Après tout, « À Amine, il ne manque pourtant que l’« r » de Marine. » (Le Spectre de l’Isotèle).