dimanche 17 novembre 2013

Moi Président de la FFF (Fédération Française de Football)


Moi Président de la FFF (Fédération Française de Football), je proposerais les orientations suivantes, non exhaustives.
Le but étant de construire un fond et une forme de jeu propres à l’équipe nationale de football, notamment.
Ce fond et cette forme de jeu constitueront l’emprunte et l’identité d’une équipe de France solide, efficace et pérenne.
Une formation stable avec un label parfaitement identifié. Un modèle qui rayonnera dans le Monde. Sa notoriété supplantera sa célébrité.
Une assise, un repère pour tout nouveau joueur.
Une équipe qui, surtout, donnera du plaisir, de la joie ou de la tristesse, bref des émotions aux nombreux spectateurs, des amoureux du football, des passionnés, qui la contemplent évoluer sur un terrain. Dans le stade, à travers un écran, ou en écoutant la radio.
Une qualité de jeu qui effacera n’importe quelle amertume faisant suite à une défaite méritée face à un adversaire de taille.

Les pistes sont les suivantes :

Muscler d’abord le cerveau avant les jambes.
Jouer au ballon avec sa tête, ses yeux, ses oreilles, avant ses pieds.
Cette action génère plusieurs avantages.
Le joueur reste l’artiste du jeu. Il n’est plus un simple robot exécutant, de façon programmée avec la peur au ventre, une tactique dictée par l’entraîneur dans le vestiaire en l’absence de l’équipe adverse.
Le joueur adapte, réajuste son jeu selon les variables imposées par son adversaire.
Le joueur prend des initiatives. Innove. Il devient créateur. Pas de création, point d’artiste.
Et pour le surplus, le joueur, tout comme l’entraîneur, peut ainsi s’exprimer convenablement, a minima, devant les micros qui lui sont tendus par de nombreux journalistes : une phrase construite avec un sujet, un verbe, un complément.
Et si possible, avec une coupe de cheveux soignée et conforme à l’image de représentation qui repose sur une équipe nationale.
De plus, une coupe de cheveux folklorique, avec des « pétards » dans tous les sens, risque de faire emprunter au ballon une trajectoire non désirée en cas de coup de tête.
Travailler l’intérieur de la tête et non pas sa bordure.
Remplir le fond de son regard face à une caméra.
De même, faire ses nœuds de lacets (de chaussures) sur les côtés et non pas au centre. La moindre bosse, crête, etc. peut dévier la trajectoire du ballon. Une petite astuce.

Privilégier la technique irréprochable et la vision intelligente du jeu.
Plutôt que la puissance physique et la vitesse de course. Ou alors, il faudrait changer de sport.

Le ballon court plus vite que n’importe quel être humain sur Terre.
Le jeu du football consiste à maîtriser ce ballon rond. Les lois de la physique, des mathématiques, de la géométrie, etc. sont utiles.

Eviter de vouloir marquer tout de suite un but. Un peu de patience.
Ne pas chercher à vouloir aller rapidement, et systématiquement, vers l’avant, devant le but adverse.
Ne pas sacrifier les étapes incontournables, indispensables à la préparation d’une attaque.
Cela ne sert à rien de courir dans un couloir tout seul avec le ballon. On s’isole dans son coin. On se fatigue pour un résultat potentiel incertain. On déstabilise le jeu. On éclate le bloc collectif d’équipe. Et en plus, ce n’est pas très joli à voir.

Un mur défensif adverse est un obstacle. Parfois avec un double rideau.
On ne traverse pas un mur de joueurs en « jouant au loto ». En envoyant un ballon devant, au hasard. Dans les airs. A la louche. On ne rend pas service à son coéquipier, l’attaquant.
Il faut savoir contourner ce mur.
On ouvre une porte dans ce mur. En jouant, par exemple, en triangle et en une-deux à volonté ; y compris avec le même joueur.

Un ballon, un objet vivant qu’il faut dompter et apprivoiser.
L’épreuve consiste à déposer ce ballon dans la cage adverse. En faisant trembler ses filets par les vagues de l’impact et du contact. Et, on dispose de 90 minutes pour le faire.
Mais pour atteindre ce but adverse, il y a un chemin à emprunter. Progressivement. Même lentement. Par des pas en avant puis en arrière, ou latéralement, autant de fois que nécessaire. Par plusieurs joueurs, en compagnie du ballon. De façon synergique. Et harmonieuse. 
On avance et on recule, en même temps, ensemble.

Le ballon se caresse.
Se goûte. En douceur. En souplesse. Sans brutalité. Ni vulgarité. Ni stress.
On parle avec son ballon. On communique. On fait connaissance. On colle à son ballon. On crée un lien fusionnel. Pas le moindre espace n’est permis.

Alors on danse…
On fait tanguer l’adversaire. Sur le terrain.
Pas la veille, en boîte de nuit. Ni au bord de la buvette, le verre de rosé à la main.
La droiture de la posture. L’élégance du geste. La beauté du mouvement. Le plaisir du regard.
S’inspirer du « jeu de dames »

Rien à voir avec ces explications qui ne servent qu’à nourrir une appréciation d’ordre général.
Des affirmations imprécises, vidées de sens, incompréhensibles.
Souvent inventées par des auto-proclamés experts du football.
Du style : « aile de pigeon » ou je ne sais quelle autre aile du dragon. « Mets de la niaque » ; « de l’engagement ». « Joues avec tes tripes ». « Mets le pied ». « Fais-toi respecter ». « Tu le suis : il va pisser, tu vas pisser ». « Tu le marques à la culotte ». « Rentres lui dedans ». « Tu dois mouiller le maillot ». « Tu dois l’impressionner avec ta couleur (noire) »

Exiger une maîtrise parfaite des fondamentaux.
La qualité du contrôle, un équilibre parfait et une information déjà prise conditionnent la suite.
De la spontanéité.
A tout instant, suivre l’évolution de son environnement : sa position, celle de ces coéquipiers, celle de ses adversaires.
Ne jamais quitter le ballon du regard.
Regarder simultanément dans les quatre directions, en temps réel.
Contrôle des différentes zones de ses pieds, de sa cuisse, de sa poitrine, de sa tête.
Faire une passe précise, au bon moment, à la fraction de seconde près.
Une passe doit mettre le coéquipier dans les meilleures conditions possibles. Et non pas l’envoyer au « casse-pipe », « au charbon » ; avec la blessure, le carton jaune voire rouge en prime.
Cela ne sert à rien de vouloir récupérer un ballon mal donné. Perdu d’avance. Cela ne sert à rien de déployer ces tacles inutiles.
Ne pas se cacher derrière l'adversaire. Proposer des solutions au coéquipier porteur du ballon. Se montrer. Demander le ballon par un appel même vers l'arrière.

Savoir garder le ballon quand il le faut.
Un rôle souvent confié au meneur du jeu : le numéro 10, dynamo de l’équipe. Qui dicte le rythme de « la danse ».
L’éclaireur. Qui bénéficie d’une liberté totale de circulation dans les différentes zones du terrain. Qui est exempté des tâches défensives.
Etre capable de protéger le ballon qui lui est confié. Se sentir responsable de sa conservation. De cette couverture de balle : mettre son corps toujours entre l’adversaire et le ballon.

Respecter les zones et les postes. Ne pas inverser les rôles.
Le peintre n’est pas boucher. Le livreur n’est pas forgeron.
L’attaquant reste en attaque.
Le défenseur reste en défense.
Le milieu joue son rôle de liant. De passerelle. De pont.
Demander à un attaquant de défendre, comme un défenseur, revient à le vider de son énergie.
Une énergie censée être réservée à provoquer la défense adverse. A la percer. A la pénétrer.

Savoir jouer sans ballon. Même durant un match entier.
En faisant les bons déplacements.
En choisissant la bonne direction.
Créer de l’espace pour ses coéquipiers. Leur ouvrir le chemin.
Marquer un but n’est pas une tâche exclusive réservée à l’attaquant.
Embarquer un ou deux défenseurs en faisant un appel judicieux.
Façonner la brèche dans la défense adverse.
Ne jouer que les bons coups.
Apprendre à se faire oublier par son adversaire. L’endormir. Avant de le surprendre.

La ruse. Oui à la « main de dieu ». Oui au « penalty imaginaire ». Non à l’hypocrisie. Non aux discours ambivalents selon le contexte.
La ruse est le douzième joueur.
Le football est un sport de magie.
C’est une religion populaire. Une philosophie planétaire.
Son langage est homogène. Unique.
Ses codes sont universels.
On n’a besoin d’aucun traducteur.
On « prie » en silence en regardant un vrai match de football.
En écoutant les « vrais » commentateurs. Des connaisseurs.
En famille.
Ou entre ami(e)s.
Sans bière. Si possible.

Protéger ces denrées rares contre les impostures du football.
Prendre soins de ces « diamants purs ».
Confier ces talents, innés et révélés dans la rue, à des mains exercées.
Faire en sorte que l’enfant, artiste dans l’âme, ne se transforme en « bourrin idiot ».
Arrêter de crier sur les enfants du bord du terrain.
Arrêter « d’aboyer » sur eux le samedi ou le dimanche.
Les laisser tester leurs idées. Découvrir leur corps.
Les laisser s’amuser. Avec le ballon.

Aider les petits clubs. Leur survie en dépend.
Un petit regard vers ces viviers.
Qui ne peuvent se transformer en garderie.
Un effort vers ces premiers détecteurs de talents.
Au budget aléatoire de fortune.
Un pourcentage du fric « d’en haut » sera versé.
Là où tout commence.
Sous le beau ou le mauvais temps.
Le bénévole dévoué est toujours de la partie. Généreux. Mais hélas, pas toujours compétent.

L’équipe nationale possède un, et un seul, entraîneur.
A l’abri de tous ces coaches improvisés et maîtres de la parole.
Le sélectionneur ne peut être qu’un fin limier du métier.
Un technicien du football.
Un manager au sens propre du terme.
Capable de gérer les Hommes.
Son simple et bref discours injecte une réelle motivation chez les joueurs.
Une solidarité. Une cohésion. Une résistance à toute épreuve.
Son intervention, au verbe adéquat, inverse la tendance.
Son charisme et sa connaissance profonde du football font de lui un chef naturel.

Et chantons ensemble.
Discrètement, mais de façon fière, l’hymne national.
Chantons « la Marseillaise ».
Dans le cœur.
Et pas nécessairement de manière ostentatoire.
Qu’il n’en déplaise à certains jaloux, et aux pourvoyeurs de la haine.

Enfin, tant mieux si nos artistes, multicolores, et souvent issus « d’en bas », gagnent autant d’argent…

 



3 commentaires:

  1. Je mets en 2 fois le commentaire trop de caractère !

    voilà une publication qui me parle, comme sûrement beaucoup de joueur ou d’entraîneur de football.

    beaucoup de vérité dans ces lignes.
    Une priorité du jeu plutôt que du résultat, le plaisir avant tout.

    assainissement d'une image de notre équipe national qui rappelons le est un exemple et un modèle pour nos jeunes.
    Ce qu'il faudrait rajouter c'est l'annulation des primes pour jouer en équipe nationale, c'est un honneur de jouer en équipe de france et ceux qui réclame une prime pour le faire ont oubliés pourquoi ils ont signés leurs premières licences.
    C'est le rêve de tout nos jeunes de jouer une compétition international.
    Attention je ne dis pas qu'ils sont tous à mettre à la même enseigne, mais je ne me retrouve pas dans certains comportement antisportif. Trop peu de sanction ont été faite envers certains joueurs de haut niveau.

    Mais revenons au contenu de ce blog qui devrait être cité dans beaucoup de club.

    Je vais mettre un commentaire sur chacun des paragraphes et dire ce que je pense pour ma part
    « Muscler d’abord le cerveau avant les jambes »
    Une adaptabilité du joueur comme de l'entraineur sur le jeu qui l'entoure est surement la chose la plus importante dans un match, modifier sa façon de jouer par rapport un adversaire, être capable de s'adapter à toute situation, l'intelligence de jeu un vaste programme qui ne s’acquière qu'avec une grosse habtitude à s'auto évaluer et à avoir une analyse rapide et pointu de la situation actuelle (placement-déplacement-vision périphérique-choix possible-...)
    « Privilégier la technique irréprochable et la vision intelligente du jeu »
    il est évident que la priorité de travail de la technique et de la vision intelligente du jeu déjà développé ci dessus est dune évidence sans équivoque. Tout aussi équivoque que la place du physique se doit d'être travaillé au un certain minima, et dans le jeu moderne la vitesse de course est un point non négligeable pour le changement de rythme et la percussion.

    « Le ballon court plus vite que n’importe quel être humain sur Terre ».
    Je rêve que tous les footballeurs qui liront ces lignes l'assimile !

    « Eviter de vouloir marquer tout de suite un but. Un peu de patience ».
    Il n'y a pas de plus beau but que de voir une construction partant du gardien qui passera dans toutes les lignes et des deux cotés du terrain. Pour moi ce n'est pas le retourné accrobatique ou la reprise de volée. C'est le football collectif qui est l'essence de ce sport !

    « Un mur défensif adverse est un obstacle. Parfois avec un double rideau ».
    Comment une équipe pourrait prendre du plaisir à jouer comme ça ? Je préfère prendre plus de but mais voir du football. Mais bon le seul moyen de perforer le mur est bien le jeu court rapide et la mobilité des joueurs.

    « Un ballon, un objet vivant qu’il faut dompter et apprivoiser ».
    en accord total avec toi quel bonheur de marquer avec une dizaine de passe au préalable.

    « Le ballon se caresse. »
    un travail de fond dés le plus jeunes age devrait être fait pour l'apprentissage de la protection de balle à la même hauteur que le travail de passe et l'amorti. Je me souviens le temps passé avec un ballon derrière la maison à l'avoir toujours au pied et m'inventer des adversaire fictif pour enfin le mettre entre les arbres après un une deux avec le mur. Retrouver ce plaisir a l’entraînement à chaque fois que l'on touche ce ballon, hélas à 43 ans je n'arrive pas à décrocher de ce plaisir de sensation de toucher, de caresser le cuir comme tu le dis si bien.

    « Alors on danse… »
    formidable soyons formidable et non pas fort minable ;)

    « Rien à voir avec ces explications qui ne servent qu’à nourrir une appréciation d’ordre général ».
    Je mettrai un bémol bien que je ne sois pas un expert du football car il m'arrive de motiver les équipes par des clichés de ce genre, bien forcer d'avouer que certains joueurs ont besoin d’être poussés et motivés.

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  2. « Exiger une maîtrise parfaite des fondamentaux ».
    les mots justes et bien voici le détail que chacun devrait assimiler et appliquer à la lettre
    « Savoir garder le ballon quand il le faut ».
    oui à bon escient mais là notre vision diverge légèrement, je pense que dans le football moderne hélas l'équipe ne peu pas supporter la supériorité numérique de l'équipe adversaire par un joueur défensif (milieu défensif et arrière). Je demande donc aux joueurs d'être vigilant sur ce surnombre.
    Sur le reste je suis en accord total du rôle du 10.
    « Respecter les zones et les postes. Ne pas inverser les rôles ».
    je mets le même point de vue que le paragraphe précédent lors du repli défensif du groupe équipe. Après les permutations entre les lignes permettent de déstabiliser les équipes et de créer du mouvement pour libérer les espaces nécessaire à la percussion.
    « Savoir jouer sans ballon. Même durant un match entier ».
    je n'ai jamais eu de plus grand plaisir que de laisser un espace pour un coéquipier qui va marquer alors je te rejoindrais à 100% sur ce détail
    « La ruse. Oui à la « main de dieu ». Oui au « penalty imaginaire ». Non à l’hypocrisie. Non aux discours ambivalents selon le contexte ».
    Je n’adhère pas désolé , j'ai en horreur l'injustice et la triche alors je dis non au mensonge et à la simulation, non au plongeur, qu'il y est sanction pour ceux qui veulent un pénalty par un plongeon. Oui au vrai football.
    « Protéger ces denrées rares contre les impostures du football ».
    tout a fait en harmonie avec ça, halte aux aboyeurs hélas trop nombreux sur nos stades.
    Surtout en cas d'échec, être modéré dans ses propos, dire quand c'est mal afin de le corriger mais positiver, il y a toujours de bonne chose à dire.

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  3. « Aider les petits clubs. Leur survie en dépend ».
    Le travail de fond de la fédé sur l'éducation des jeunes est sur une bonne voix, mais il est évident que les petits clubs sont défavorisé car les charges sont trop élevées. Les sponsors sont moins généreux que dans les clubs d’envergure moyenne, et pourtant le futur zidane est peu être dans un petit club. (la générosité faite au grand par la fédé ou les primes cité ci-dessus pourrait être mis à disposition aux clubs amateurs qui n'est autre que le vivier de la fff, arrêter de ponctionner ces clubs qu'ils puissent payer leurs formations d'éducateur.
    « L’équipe nationale possède un, et un seul, entraîneur ».
    C'est la bible de tout entraîneur, je suis bien forcer de constater que peu de personne ont toutes ces valeurs et ces possibilités.
    « Et chantons ensemble ».
    à chacun sa façon d'honorer la marseillaise
    « Enfin, tant mieux si nos artistes, multicolores, et souvent issus « d’en bas », gagnent autant d’argent… »
    pas d'accord, je ne comprend même pas les sommes faramineuses qui sont échangées dans les hautes sphères de la planète football.
    Ne jamais oublier que c'est notre passion avant d'être un métier !

    Merci Amin pour ce blog qui parlera à beaucoup de footeux, j'espère que d'autres laisseront leurs ressentis, partageons nous tous les mêmes directives, avons nous des tous des visions différentes ?
    Toujours est-il que le football est une passion qui nous a tant apporter qu'il nous sera difficile de donner autant en retour. Je m'efforce donc de passer beaucoup de temps à l'amélioration du football, dans mon entourage, je sais que c'est infime car je ne suis qu'un petit entraîneur d'un petit club à un petit niveau, mais dans lequel je me sentirai toujours à ma place, je me permet de le citer car c'est un exemple de générosité et de passionné. St Georges des Gardes. Un club d'une ville de 1500 âmes, qui après avoir payer les cartons, les arbitres le dimanche, les sanctions car il y a un manque d'arbitre dans le club ainsi que les charges internes à du mal à boucler la saison financièrement. Comment trouver des arbitres pour une ville si petite qui à déjà du mal a faire des équipes entières, c'est mission impossible. Il n'est pas étonnant qu'il y a de plus en plus de fusion et donc de moins en moins de club !
    Tout comme avec les joueurs il faut dire les choses quand elles ne vont pas ! Voilà c'est fait.
    Mais le football et le travail de la fédération nous apporte sont lot d'amélioration. Les joueurs qui nous arrivent chaque années ont un bagage technique de plus en plus fort. C'est bien le signe que ça va dans le bon sens.
    Encore merci amin
    Yann PICART

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