dimanche 23 mars 2014

Au lieu de voter, j'écris à nouveau au Président de la République Française, Monsieur François HOLLANDE


Cholet, dimanche 23 mars 2014


Docteur Amine UMLIL

Pharmacien Praticien Hospitalier
49300 CHOLET


Objet : Le bâtard, ce parasite de l’institution ; cette verrue de la République.

 
                              Monsieur François HOLLANDE
                                  Président de la République Française
                                         Palais de l’Elysée
                                         55, rue du faubourg Saint-Honoré
                                         75008 PARIS

 

Monsieur Le Président de la République,

 

 

Par la présente lettre ouverte, à tort ou à raison, j’aimerais juste vous dire que suite à l’épreuve à laquelle j’assiste depuis au moins 2005, je pense être en mesure de vous démontrer, sur pièces, que certains individus sont pour les institutions fondamentales de l’Etat Français ce que notamment certains prêtres pédophiles sont pour l’Eglise catholique.

Et, au lieu de nettoyer immédiatement et vigoureusement les cadres de ces respectables institutions, on préfère déplacer ces voyous en usant de la mutation géographique, et/ou attendre que ces personnages partent à la retraite.

Mes agresseurs sévissent au centre hospitalier de Cholet. Mais, en sollicitant aide et protection auprès des représentants de la justice française, j’ai eu le sentiment de m’adresser aux sosies de mes détracteurs. Et depuis neuf ans, tout cela se déroule sous le regard, pour le moins indifférent, des femmes et hommes politiques.

Si l’on croit la presse, les récents événements relatifs aux prétendues « affaires » concernant l’ancien Président de la République et avocat, Monsieur Nicolas SARKOZY, sont venus confirmer davantage le bien fondé de mon analyse.

Maintenant qu’il est directement concerné, Monsieur Nicolas SARKOZY se met à nous donner des leçons en nous prenant, nous français, comme témoin. Dans Le Figaro du 21 mars 2014, il nous explique notamment ceci : « Que chacun réfléchisse à ce bref inventaire car demain il pourra, à son tour, être concerné. ».

Je ne sais pourquoi, mais il y a une phrase qui me revient : « Casse-toi, pauv’ con ! »

Brusquement, Monsieur Nicolas SARKOZY aurait découvert que « décidément, la France des droits de l’homme a bien changé… que des principes sacrés de notre République sont foulés aux pieds avec une violence inédite et une absence de scrupule sans précédent… La justice de la République instrumentalisée… les juges ou les policiers… Sont-ils au-dessus de lois… Ce n’est pas un extrait du merveilleux film « La Vie des autres » sur l’Allemagne de l’Est et les activités de la Stasi. Il ne s’agit pas des agissements de tel dictateur dans le monde à l’endroit de ses opposants. Il s’agit de la France… Son « crime » : être l’ami depuis trente ans d’un avocat général à la Cour de cassation, un des plus fameux juristes de France… etc. ».

Comme disait Coluche : « Il y a deux sortes de justice : vous avez l’avocat qui connaît bien la loi, et l’avocat qui connaît bien le juge ! ».

Je pense que les auteurs du « mur des cons » auraient oublié d’y ajouter certains de leurs collègues. J’en ai repéré quelques-uns…

« Ce qui va faire du boulot à ces bâtards de… »

Les psychiatres connaissent bien le phénomène de la projection. Celle-ci consiste à imputer à autrui son propre agissement.

Dans « Bâtard », la chanson de Stromae (Album racine carrée 2013), on peut écouter notamment ceci : « …Bâtard tu es, tu l’étais et tu le restes… Trou du cul ou bien nombril du monde, Monsieur se la pète plus haut que son trou de balle… ».

Quel spectacle ! Quel cirque !

Devrait-on rire ou pleurer ?

Je n’ai pas attendu cette confrontation entre la corporation des magistrats et celle des avocats pour livrer ce que je pense, désormais, du comportement de certains représentants de la justice française, notamment.

« L’indépendance » et le « secret professionnel » sont des moyens légitimes qui sont prévus pour garantir le bon fonctionnement des institutions telles que celles de la Santé et de la Justice. Ils ont comme but ultime de servir l’intérêt général ; et celui de l’usager, citoyen et contribuable.

Et ces verrous nécessaires ne sauraient être détournés, de façon insidieuse et sournoise, de leur finalité pour que certains puissent se servir, et pour préserver des intérêts corporatistes, catégoriels et personnels.

Ils jugent leurs semblables les humains. Mais, ils ne souhaiteraient pas que leurs semblables les humains les jugent à leur tour. Se remettre en question ne serait pas leur point fort. Admettre ses erreurs serait, pour eux, insupportable. L’évaluation continue des pratiques leur serait étrangère. Ils s’assoiraient sur la qualité de l’image qu’ils peuvent renvoyer à leurs concitoyens. Ils ne semblent pas s’inquiéter du manque de confiance généré par leurs agissements au sein de l’institution qui les abritent. Leur arrogance inonde les palais. Elle donne la nausée. Seraient-ils des citoyens pas comme les autres ? Seraient-ils dotés d’une anatomie particulière ? Par exemple, seraient-ils équipés de « deux trous de balle » qui leur permettraient de déféquer sur les autres citoyens comme bon leur semblent ? Seraient-ils des êtres hors norme ? Des créatures exceptionnelles ? Des dieux vivants ?

Quand un citoyen cause un dommage à autrui, il est sanctionné. Mais, les professionnels de la justice, eux, bénéficieraient d’une sorte de droit à l’erreur. Voire d’un droit à l’erreur volontaire. D’un droit à la faute. Qui, parfois, brise des vies entières. Des vies humaines.

Pourquoi un tel privilège ?

Un citoyen deviendrait-il intouchable par le simple fait d’avoir fait des études de droit ?

Une personne, un « trou du cul », qui a choisi son métier dans le domaine de la justice serait-elle supérieure à une autre personne ?

Un professionnel du droit aurait-il le droit de se placer au-dessus du droit ? Et des lois qu’il est censé respecter et appliquer ?

Mais, si l’on croit aussi Jean Giraudoux, « le droit est la plus puissante des écoles de l’imagination. Jamais poète n’a interprété la nature aussi librement qu’un juriste la réalité. ».

En principe, aujourd’hui dimanche 23 mars 2014, j’aurais dû me déplacer au bureau de vote de mon quartier pour accomplir mon devoir de citoyen. Or, je ne vois plus l’utilité de gaspiller mon temps en me rendant à l’urne. D’autant plus que lesdits représentants des institutions fondamentales de l’Etat ont décidé, de façon arbitraire et en toute impunité, de m’ôter ma citoyenneté, et de me priver des droits les plus élémentaires que la France garantit à tout citoyen. Sur ce point, un extrait de mon raisonnement a été publié le 27 octobre 2013 par Le Journal Le Courrier de l’Ouest (Cliquer ici).

Je serais d’ailleurs curieux de connaître le point de vue de celles et de ceux qui ont perdu leur vie pour obtenir ce droit de vote. Je ne suis pas certain qu’ils (elles) approuveraient l’évolution actuelle du sens politique. « Le vote ou le fusil » serait devenu « Le vote ou la déviance majoritaire »

A la place, j’ai décidé néanmoins de vous écrire à nouveau ces quelques lignes. Une façon, comme une autre, d’accomplir mon devoir. Je pense en particulier au devoir d’alerte. Bien qu’à ce jour, je n’ai toujours pas eu le plaisir de lire vos réponses aux nombreuses lettres recommandées, avec avis de réception, que j’ai eu l’honneur de vous adresser en ma qualité de citoyen d’une part, et de pharmacien praticien hospitalier d’autre part.

Votre prédécesseur, Monsieur Nicolas SARKOZY, a eu au moins le mérite, lui, de me répondre de façon « normale ». Même si sa plume m’avait notamment étiqueté comme étant de sexe féminin. Et malgré le fait que sa promesse n’ait pas été suivie d’effets. En fait, la situation s’est même aggravée depuis.

Mais, peut-être que mes correspondances ne vous ont jamais été transmises…

Enfin, force est de constater que Jean de La Fontaine soutenait, lui aussi, de façon concordante que « selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir. ».

Par conséquent, je vous remercie à l’avance de bien vouloir transmettre ce message à tous ces hauts parleurs, ces Maîtres de la parole, qui tentent de nous rassurer sur l’état de la France. En leur indiquant, à titre subsidiaire, cette précision supplémentaire : « Cessez de nous prendre pour des idiots ! ».

Je vous rappelle qu’une partie de mes preuves, indépendantes et règlementaires en tout premier lieu, est accessible via mon blog (analyse citoyenne indépendante) à travers le lien suivant que vous connaissez déjà : Cliquer ici

En espérant une éventuelle réponse, et surtout une intervention effective, de votre bienveillance,

Je vous prie de bien vouloir recevoir, Monsieur Le Président de la République, l’expression de mes respectueuses salutations.


Amine UMLIL
Citoyen français
 
 
 
Autres lectures (non exhaustives) :
Hôpital de Cholet : encore un bleu bleu-marine ! (Cliquer ici)
 
 
 
 
 

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