Dès
son arrivée, en septembre 2012, au centre
hospitalier de Cholet, le nouveau
directeur (Monsieur Pierre VOLLOT) prend
une mesure : on ne peut plus lui écrire directement via la messagerie de l’hôpital.
Comme cela était pourtant possible avec tous les directeurs qui l’ont précédé.
Pour s’adresser
à lui, il faut passer par la boîte e-mail de son secrétariat « F DG
Secrétariat ».
Pour
pouvoir lui écrire directement, il faut écrire sur l’adresse « L DIRECTION »
qui inclue tous les autres directeurs adjoints. Dans ce cas, lorsqu’il décide d’accuser
réception de mes messages, je reçois un e-mail de « XXZZ »… !? :
Pour
avoir interpellé, le 28 novembre 2012, Monsieur Gilles BOURDOULEIX sur des faits
étranges qui se déroulent au centre
hospitalier de Cholet ; et qui semblent cibler notamment des patients « sans-papiers », « étrangers »...
ainsi que des collègues
médecins d’origine étrangère…,
Le 07 décembre 2012, Monsieur Pierre
VOLLOT me dénonce auprès du Centre national de gestion (CNG). Il souhaite me voir
sanctionner :
Le 18 février 2013, Monsieur Pierre
VOLLOT m’explique que la directrice de ce CNG est la seule autorité « compétente »
pour la discipline du praticien
hospitalier que je suis :
Alors,
comme sa requête
a été rejetée par le CNG, Monsieur Pierre
VOLLOT s’auto-adjuge désormais cette « compétence » pour la discipline du
praticien hospitalier. Il se sent brusquement investi d’une mission civilisatrice à
mon égard.
Il ose donc me couper ma messagerie professionnelle (cf. ses trois courriers ci-dessous). Il me prive de mon outil de travail et de communication avec mes collègues internes et externes. Il est seul
juge, et partie. La sanction tombe sans aucune « audience »… Il invente
un barème de sanctions qui lui est propre… Il fait ce qu’il veut… Pour
lui, diffuser notamment des alertes relatives à de graves dysfonctionnements qui percutent directement les patients, critiquer le fonctionnement, dénoncer ses
conditions de travail, tout en proposant
des solutions… relèveraient d’un usage « non »
professionnel de cette messagerie… !?
Voyons d’abord le type de messages
considérés comme « professionnels »
par la direction de l’hôpital public de Cholet. Juste un échantillon non exhaustif.
Un message (octobre 2013) pour jouer
aux boules :
Deux messages à la recherche d’un « bijou
perdu » :
Cibler les arabes et musulmans : Cliquer ici
Un message (octobre 2013) « En
avant la musique » :
Un message concernant « la mère »
d’un médecin ; une maman qui n’a aucun lien professionnel avec l’hôpital :
Un message (octobre 2013) « Salon
des saveurs et de l’art de la table » :
Un message « ...Sur le bord des
routes… » :
Dans ce qui suit, je vous propose un exemple qui montre comment la direction de l’hôpital de Cholet se moque ouvertement du juge (cf. ci-dessous des extraits des mémoires de l'hôpital versés au Juges).
Extrait du mémoire de l'hôpital de Cholet du « 09 »
octobre 2009 à propos de mon « supérieur hiérarchique » ; une
contradiction dans la même page :
Le juge a donc reçu un mémoire daté du « 09 »
octobre 2009 (cf. juste ci-dessus). Mais, durant le trajet vers mon domicile, le « 09 » a tourné
en « 06 » octobre 2009. Je vous le disais, ils ont vraiment du mal avec
les chiffres arabes :
Le 27 juillet 2010, c’est finalement « la
Ministre de la santé » qui serait mon « supérieur hiérarchique direct » :
Le 18 février 2011, ce n’est plus « la
Ministre de la santé » mais « le directeur du centre national de
gestion » qui serait mon « supérieur hiérarchique direct » :
Le 18 octobre 2012, ce que la bande locale me fait au
centre hospitalier de Cholet, depuis au moins 2005, serait finalement à cause du « centre
national de gestion » (alors que ce dernier n’a jamais formulé le moindre
grief à mon sujet) :
La direction de l'hôpital public de Cholet se déclare,
auprès du juge, comme n’étant pas mon « supérieur hiérarchique »,
mais à l’intérieur de l’hôpital, le directeur se croit tout permis. On dirait ces « violeurs des sombres caves souterraines ». Dès qu'on sort dehors, à la lumière, il n'y a plus personne... Rien que des petites frappes...
Première coupure de ma
messagerie professionnelle. Sans préavis. J’ai appris la durée de la
suspension par la presse. Voici le courrier du 07 octobre 2013 (arrivé plus tard, quelques jours après la privation de mon outil de travail et de communication avec mes collègues) :
Deuxième coupure.
E-mail du 21
novembre 2013 :
Troisième coupure. E-mail du 28 février 2014 :
Mon e-mail du 20 novembre 2013 :
Mon e-mail du 21 novembre 2013 :
Autres
lectures (non exhaustives) :
Hôpital public de Cholet : un nouveau directeur au-dessus des lois
de la République (Cliquer ici)
Hôpital public de Cholet : deux directeurs, un copier-coller, deux
sosies, finalement… (Cliquer ici)
Hervé de CHARRETTE me vient en aide ; Gilles BOURDOULEIX, lui,
plaide pour mon départ de l’hôpital public de Cholet… Gilles BOURDOULEIX :
DEGAGE ! (Cliquer ici)
Centre hospitalier de Cholet : un procès-verbal falsifié (Cliquer ici)
Centre hospitalier de Cholet : les « raisons » d’un
délabrement annoncé… Et lorsque Monsieur Gilles BOURDOULEIX qualifie de
« Fascistes » des membres du personnel de l’hôpital… (Cliquer ici)
Un procureur de la République qui déconsidère la sécurité des patients
et, l’intérêt général de l’hôpital public de Cholet (Cliquer ici)
Le procureur de la République a également déconsidéré le travail
effectué par « son » propre service régional de police judiciaire (Cliquer ici)
Ordre national des pharmaciens : le fantôme de Vichy… Des
magistrats au parfum du colon Angevin et Nantais… (Cliquer ici)
« Au nom du Peuple Français » : ce que des Magistrats ont
refusé de juger (Cliquer ici)
A Cholet, le cauchemar d’un pharmacien hospitalier (Cliquer ici)
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