Mise à jour du samedi 23 novembre 2013
Le
lendemain de mon article initial ci-dessous « Cholet : la zone d’un caïd ? »,
Une nouvelle victime aurait été identifiée à
Cholet : La responsable de la
programmation du théâtre. Lisons quelques extraits des articles de presse :
« C’est de la violence, de la
méchanceté à l’état pur. En souffrance, la salariée brise le silence. Mise au
placard. Raconte son désarroi. Les élus l’ont accusée des pires maux. C’est une
femme brisée qui se présente à la presse. Epuisée physiquement et nerveusement,
en proie aux doutes, victime d’insomnies. Une femme acculée, « terrée »
chez elle depuis un an. Plusieurs fois au cours de l’entretien, elle fondra en
larmes. Elle arrivait à Cholet enthousiaste, elle ne soupçonnait pas l’abîme
dans lequel elle allait plonger. Etc. ».
Une
autre coïncidence : cette femme aurait été examinée par le même expert,
spécialiste du domaine, qui m’avait reçu dès 2006. Il s’agit du Docteur qui
exerce au service des pathologies professionnelles du centre hospitalier
universitaire (CHU) d’Angers. Ce Docteur est également le Médecin Inspecteur
Régional du Travail cité dans mon article d’octobre 2012 intitulé S.O.S. pour Madame Christiane TAUBIRA, Garde des sceaux
Article initial du 22 novembre 2013 « Cholet :
la zone d’un caïd ? »
Si
l’on croit les différents articles de presse, des faits, pour le moins
étranges, se déroulent à Cholet. Une ville française située dans le
Maine-Et-Loire à mi-distance entre Angers et Nantes.
Monsieur
Le Préfet aurait parlé de La
République Autonome de Cholet…
Une directrice d’EHPAD (Etablissement d’Hébergement
de Personnes Agées Dépendantes) serait mise
à pied.
Le commissaire de police aurait subi une expertise psychiatrique imprévue. Inattendue.
Inopinée. Il aurait été déclaré inapte
après tant d’années de services rendus. Il aurait risqué la radiation. Mais, en attendant celle-ci,
il aurait toujours le droit de porter son arme de service. Finalement, il
pourrait poursuivre sa carrière.
Le préfet et un ou plusieurs sous-préfets auraient rencontré
quelques désagréments. Parmi eux, un voulait « chanter La Marseillaise ». Mais, pas de chance : son micro n'aurait pas fonctionné. Il aurait
été coupé.
Devant
la sous-préfecture, des sacs d’excréments auraient été déposés.
Une élue aurait été mise sur la touche. Ses indemnités
auraient été supprimées. Elle a
commis le tort de se désolidariser, publiquement, d’un écrit soutenant Monsieur Gilles
BOURDOULEIX qu'on ne présente plus. Suite aux propos faisant référence à Hitler. Une histoire, concernant les gens du voyage, qui a rendu Cholet célèbre, y compris à l'Etranger.
Que de coïncidences…
Des journalistes qui seraient sous pression.
Insultés. Voire agressés.
Un malaise à l'IML
(Institut Municipal des Langues). Il semblerait que depuis des années, des voix
auraient dénoncé un climat délétère. La direction aurait mis la pression.
Certains ressentiraient du harcèlement. Des professeurs d'origine
étrangère n'auraient pas envie de faire de vagues. Les changements
de direction n'auraient pas amélioré la pesante ambiance. Une nouvelle directrice appliquerait les directives
venues d'en haut. Une succession d'arrêts maladie.
Et le pharmacien qui
exerce au centre hospitalier de Cholet,
un hôpital public dont le conseil de surveillance (ex. conseil d’administration) est présidé par ledit Gilles BOURDOULEIX… Un hôpital qui enregistre un invraisemblable turn-over des médecins, notamment. Une hémorragie initiée depuis quelques années.
On
dirait que l’hôpital public aurait
été confondu avec le Conseil Municipal…
A lui
seul, le cas de ce pharmacien regroupe tous les cas cités ci-dessus…
Ce
pharmacien a été traduit en chambre de discipline,
et a reçu un blâme avec inscription au dossier.
Finalement, cette sanction, tout comme sa traduction en chambre de discipline,
a été annulée par l’instance nationale du Conseil de l’Ordre des pharmaciens.
Il a
subi une expertise psychologique qui
voulait notamment mesurer son « degré
de connaissance et de maturation en matière sexuelle, compte-tenu de son
âge ». Comme si la « vérité » serait, finalement, cachée
dans les « bourses du pharmacien »…
Puis à
deux reprises, l’ARS (agence
régionale de santé) l’a convoqué à une nième
expertise psychiatrique. Censée mesurer, cette fois, son « aptitude physique et mentale »
à exercer sa fonction.
Sa
messagerie professionnelle a été coupée.
Durant
ses congés, son bureau à l’hôpital a reçu la visite d’un Rat. Les policiers, qui sont venus constater les dégâts, lui
faisaient remarquer : « En tout
cas, le rat vous a niqué la souris » de votre ordinateur. Le cordon de
son téléphone professionnel a été nettement sectionné au milieu, symétriquement :
le rat maîtrise la mesure… On dirait que ce rongeur, de taille, aurait une dent contre les moyens de
communication de ce pharmacien. Comment cet animal est arrivé dans ce bureau ?
Il n’avait pourtant ni parachute ni
matériel de plongée.
Ce
pharmacien est mis au placard. Il
subit depuis au moins 2005.
Plusieurs
de ses indemnités ont été supprimées.
Etc.
On
dirait un vrai film. Avec des ressemblances frappantes entre le sort
réservé à tous ces personnages. Une histoire mystérieuse. Une énigme. Une
intrigue.
Son
équation semble têtue. Malgré la simplicité de son degré. Et en dépit du faible
nombre de ses paramètres inconnus. Qui se distinguent par leur banalité. Voire
leur médiocrité. Combinée à de l’hypocrisie.
Des
agissements de bas de gamme…
Peut-être
aurais-je oublié d’autres personnes. D’autres cibles. D’autres victimes.
S’agirait-il
d’une anecdote virtuelle ? Une caricature imaginaire ? Une réelle
chimère ? Qui se déroule dans une cité interdite ? Dans un Etat
autonome au sein de la République Française ?
S’agirait-il
d’un Royaume
Autonome où règne sa Majesté du bocage ?
Un
Etat dont les institutions auraient gravé sur leur fronton : NO ZOB ; NO JOB ?
Et,
dont le drapeau aurait été mis en berne ?
Enfin, quelques dernières nouvelles :
La
direction du centre hospitalier de Cholet m’écrivait le 18 février 2013 ceci :
« Suite à votre utilisation fautive et répétée de la messagerie professionnelle
(cf. courriers du 7 décembre 2012 et du 17 décembre 2012, j’ai naturellement informé Madame la Directrice du Centre national de gestion
des praticiens hospitaliers qui est la seule
autorité compétente pour la discipline des praticiens hospitaliers. »
Or,
finalement, ledit Centre national de gestion a rejeté la requête de cette
direction.
Alors,
depuis, cette direction s’adjuge le droit de m’interdire l’accès à ma messagerie
professionnelle (ma boîte e-mail).
Une première interdiction d’accès m’a été
infligée le lundi 07 octobre 2013. Le lendemain, j’apprenais par la presse que
cette sanction courait jusqu’au samedi 12 octobre 2013 inclus.
Or, je
n’ai fait que rappeler à cette direction notamment son inertie face à mes alertes relatives notamment au mésusage
(mauvaise utilisation) des nouveaux médicaments anticoagulants. Des alertes
envoyées dès 2012…
Pourquoi
« six jours » de sanction ? Serait-ce en référence à la
« Guerre des Six Jours » ?
Deux
jours plus tard, le 09 octobre 2013, la presse nationale nous apprenait les plaintes déposées en France à propos de
ces médicaments anticoagulants.
La
direction aurait, sans doute, bientôt l’occasion de venir expliquer à ces
familles, qui ont perdu un proche, que mon utilisation de la messagerie de
l’hôpital public de Cholet serait « fautive
et répétée »…
Et, à nouveau, je suis privé de ma
messagerie professionnelle du 22 novembre 2013 au 07 décembre
2013 inclus.
Je
suis « puni ». Je suis « mis au petit coin ». Comme un « écolier à la maternelle ».
Malgré
mon parcours… mon « bac +10 »
au moins…
Je
suis sanctionné par le directeur, au parcours inconnu, non
affiché… qui s’est senti, brusquement, investi d’une « mission
civilisatrice » à mon
égard.
Il m’a « coupé le
micro ». Pour la deuxième fois...
Je ne
peux donc plus « chanter la Marseillaise ».
Je ne
peux ni communiquer avec mes collègues médecins et infirmiers notamment ; ni
leur adresser telle ou telle éventuelle alerte concernant la sécurité des
soins.
Je
suis pourtant responsable de la pharmacovigilance et de la coordination des
vigilances sanitaires…
J’ai
commis le seul tort de vouloir rappeler au directeur de l’hôpital qu’il est à
la tête d’un établissement de santé public. A ne pas confondre avec un centre
commercial type Carrefour, Leclerc, Géant, Auchan, et autres. Je lui ai
démontré que nous soignons des patients
et non des boîtes de conserves.
Du
zèle autoritaire.
Par
contre, ceux avec un nom et un prénom « bien français » qui diffusent
publiquement des e-mails, qui n’ont aucun lien avec le Travail contrairement à
mes écrits, ciblant notamment les arabes
et musulmans ne sont pas sanctionnés (cliquer ici).
Pas
plus que ceux, toujours avec un nom et un prénom « bien français », qui
critiquent ouvertement, sur cette même messagerie, l’attitude de cette direction :
« Vous parlez d’un « souci de
simplification », mais pour qui ? »
« Je m’étonne là encore que nos conditions d’exercice (situations
d’urgence, bloc opératoire…) ne soient pas plus prises en compte. »
« J’espère que cela suscitera de
nombreuses réactions chez les médecins et ce, malgré le fait que cette décision
ait été prise en pleines vacances scolaires. »
« Pourquoi tenter à nouveau mais
de façon détournée cette fois de
vouloir fermer l’internat, auquel internes et médecins tiennent tant ?
Vous viendrait-il à l’idée de demander aux personnes déjeunant au self de payer
des repas qu’ils ne prennent pas ? Et pourtant c’est ce que vous nous
proposez, comptant sur vos vacances estivales ainsi que sur celles des médecins
pour absorber la contestation. »
« Je partage entièrement les
propos de mes confrères sur votre volonté en période estivale de fermer de manière détournée l’internat. »
Un
traitement ciblé dirigé contre le pharmacien, accessoirement « Maghrébin »…
Cette
direction n’aurait pas sanctionné non plus ce médecin qui m’écrivait publiquement
le 03 octobre 2013 ceci :
« et pour un donneur d’Alerte et si tu comprends l’arabe littéraire, je te
conseille de lire « Al Moutanabi », celui qui s’est déclaré prophète
et justicier tu verras comment il a fini. »
Ledit « Al Moutanabi » aurait été tué !
Ce
médecin serait une connaissance de
Monsieur Gilles BOURDOULEIX…
Ces
faits sont entre les mains du Procureur
de la République, notamment. Qui devrait être attentif à l'état et à la couleur de mon Bonnet.
Pour
plus d’informations, consulter notamment :
Mon Blog intitulé analyse citoyenne
indépendante (cliquer ici)
Les nombreux articles de presse : une
liasse de 2007 à 2013 (Ouest-France ; Courrier de l’Ouest ; LE POINT ;
LE MONDE Sciences & Médecine ; Politics Inside ; etc.)
Un résumé publié par La Revue Marianne le 12 avril 2011
intitulé A Cholet, le cauchemar d’un pharmacien hospitalier (cliquer ici)
Un
article du Nouvel Observateur en
date du 02 octobre 2013 intitulé Alerte sur le Pradaxa : pharmacien, j’avais
mis en garde contre ces anticoagulants (cliquer ici)
Un article du Nouvel Observateur en date du 09
octobre 2013 intitulé Santé : l’hôpital public, c’est comme
un club de foot entraîné par une danseuse (cliquer ici)