vendredi 28 février 2014

"Au nom du Peuple Français" : ce que des Magistrats ont refusé de juger


Finalement, moi, je comprends : « Toi patient(e), tu peux crever »« Ainsi que les soignants qui veulent exercer dans ton intérêt »
 
Lundi 21 juin 2010, 10h00 : « Des patients du service de réanimation, entre la vie et la mort, se trouvent brutalement sans oxygène, le médicament qui entretient la vie »... Comment a-t-on pu en arriver là ? Lisons la suite...

Ci-dessous, un exemple de faits, concernant la sécurité des soins, que les Magistrats Angevins (Pénal) et Nantais (Tribunal administratif, et Cour administrative d'appel, de Nantes), notamment, ont refusé de juger.

Des faits qui se déroulent dans un hôpital public (de Cholet). Les auteurs de ces faits se limitent à quelques individus.

De même, ces quelques personnages mettent le reste des praticiens (médecins notamment) et l’ensemble du centre hospitalier en difficulté.

Sans que personne ne bouge.

Lisons donc quelques étapes, non exhaustives, de cette « histoire » extraite d'un de mes mémoires versés aux Magistrats :
 
 
 
Année 2002, mise en place d’une mesure dictée par une circulaire datant de 1985, enfin…



Année 2006, le nouveau directeur (Monsieur Denis MARTIN)  est arrivé depuis février 2005





Année 2007





Année 2010 : accident au service de réanimation













Autres lectures (non exhaustives) :

Un procureur de la République qui déconsidère la sécurité des patients et, l’intérêt général de l’hôpital public de Cholet (Cliquer ici)

Le procureur de la République a également déconsidéré le travail effectué par « son » propre service régional de police judiciaire (Cliquer ici)

Centre hospitalier de Cholet : un procès-verbal falsifié (Cliquer ici)

Centre hospitalier de Cholet : les « raisons » d’un délabrement annoncé… Et lorsque Monsieur Gilles BOURDOULEIX qualifie de « Fascistes » des membres du personnel de l’hôpital… (Cliquer ici)

Hôpital public de Cholet : deux directeurs, un copier-coller, deux sosies, finalement… (Cliquer ici)

Ordre national des pharmaciens : le fantôme de Vichy… Des magistrats au parfum du colon Angevin et Nantais… (Cliquer ici)
 
 Hôpital public de Cholet : un nouveau directeur au-dessus des lois de la République (Cliquer ici)
 
A Cholet, le cauchemar d’un pharmacien hospitalier (Article de la Revue Marianne)
 
 
 
 

jeudi 27 février 2014

Hôpital public de Cholet : deux directeurs, un copier-coller, deux sosies, finalement...


Que fait un voyou, un délinquant, un criminel lorsqu’il est coincé ?

Dans l’article intitulé « Hôpital public de Cholet : un nouveau directeur au-dessus des lois de la République », je démontre comment la nouvelle direction du centre hospitalier de Cholet, dirigée depuis septembre 2012 par Monsieur Pierre VOLLOT, travestit la réalité auprès notamment du Conseil d’Etat. En disant, par exemple, tout le contraire de la vérité consignée pourtant dans, non pas un, mais plusieurs procès-verbaux de la commission médicale d’établissement de l’hôpital de Cholet. Tout en portant atteinte à mon honneur et à ma réputation auprès notamment du centre hospitalier universitaire (CHU) d’Angers. (Cliquer ici)

Monsieur Pierre VOLLOT ne s’arrête pas là.

Auprès du Conseil d’Etat, il vient de réactiver de nouvelles accusations graves, injustifiées, infondées qui me ciblent.

Ces accusations portent sur mon activité réalisée, dans le passé, au centre hospitalier de Saumur que j’avais intégré juste après la fin de mon internat (effectué pendant 4 ans aux centres hospitaliers universitaires de Toulouse) :
 
 
A nouveau, constatons la réalité écrite émanant dudit centre hospitalier de Saumur… Je ne vous livre que quelques échantillons, non exhaustifs, produits juste avant mon départ de l’hôpital de Saumur. On peut y lire notamment : « Nous regrettons son départ… » !

Ecrit du Pharmacien Chef de service :


Ecrit du Directeur :


Ecrit du Président et du Vice-Président de la commission médicale d’établissement :


Ecrit du Chef de service de Cardiologie :


Ecrit du Chef du Département de Gériatrie :


Des « petits mots » de mes anciennes collègues (préparatrice en pharmacie, secrétaire…) :




Ces accusations inexactes de Monsieur Pierre VOLLOT avaient été introduites initialement par son prédécesseur que l’on ne présente plus : Monsieur Denis MARTIN. Ce dernier a dirigé le centre hospitalier de Cholet de février 2005 à avril 2012 avant qu’il ne prenne la fuite…

Ces fausses accusations avaient été versées auprès du tribunal administratif de Nantes, le service régional de la police judiciaire d’Angers, l’ordre national des pharmaciens

Eu égard à mes écritures, aucun juge ne s’est aventuré sur ce terrain…

Mais, Monsieur Pierre VOLLOT, lui, n’aurait peur de rien.

Il est étonnant de ne pas voir des accusations similaires, me ciblant, sur mon passé hospitalo-universitaire de 10 ans (Faculté de pharmacie d’Angers ; Centres Hospitaliers Universitaires de Toulouse)…
 
N'ayant aucun argument objectif, sérieux, susceptible d'expliquer le traitement que mes détracteurs m'infligent depuis au moins 2005, la bande se met à fouiller dans mon passé... A Cholet, ses membres n'ont rien à se mettre sous la dent... Mais, à nouveau, la récolte est maigre... Mauvaise pioche...

Et, si on fouinait aussi, et notamment, dans le passé de Monsieur Denis MARTIN et de Monsieur Pierre VOLLOT

Et voilà ce que ça donne de mettre n’importe qui à la tête d’un hôpital public… Des moins diplômés qui veulent diriger, ou plutôt commander, des « bacs +10 » au moins

Une caricature. Une farce. De mauvais goût. A l’odeur nauséabonde.

 

Autres lectures (non exhaustives) :

Le procureur de la République a également déconsidéré le travail effectué par « son » propre service régional de police judiciaire (Cliquer ici)

Centre hospitalier de Cholet : un procès-verbal falsifié (Cliquer ici)

Centre hospitalier de Cholet : les « raisons » d’un délabrement annoncé… Et lorsque Monsieur Gilles BOURDOULEIX qualifie de « Fascistes » des membres du personnel de l’hôpital… (Cliquer ici)

Ordre national des pharmaciens : le fantôme de Vichy… Des magistrats au parfum du colon Angevin et Nantais… (Cliquer ici)

Un procureur de la République qui déconsidère la sécurité des patients et, l’intérêt général de l’hôpital public de Cholet (Cliquer ici)
 
 
 
 
 
 
 

mercredi 26 février 2014

Le procureur de la République a également déconsidéré le travail effectué par "son" propre service régional de police judiciaire


Le procureur de la République d’Angers (49), Madame Brigitte ANGIBAUD, n’a pas ignoré, seulement et uniquement, le fruit de l’enquête menée par l’inspection régionale de la pharmacie des Pays de La Loire. (Cliquer ici)

Ce procureur de la République a également déconsidéré le travail mené par « son » propre service régional de police judiciaire (SRPJ) d’Angers.

Les policiers ont pourtant enregistré plusieurs dépositions.

Je vous propose (ci-dessous) des extraits, non exhaustifs, de ces témoignages que le procureur de la République, ainsi que « ses » juges, a écarté sans explication.

Les menaces subies par les témoins avant leurs auditions par les policiers :
 



Les autres témoignages du personnel de la pharmacie du centre hospitalier de Cholet :


















Les accusations du chef de service de la pharmacie, à mon encontre, auprès des policiers :




Quelques semaines plus tard, ce même chef de service de la pharmacie donne une autre version lors de son audition, cette fois, par l’Ordre national des pharmaciens :


Le témoignage d’un premier psychiatre :


La déposition d’un deuxième psychiatre :


Un nouvel extrait de la déposition du premier psychiatre :


La déposition d’un directeur adjoint du centre hospitalier de Cholet :


Mon travail vu par l’inspection régionale de la pharmacie des Pays de La Loire :


Mes preuves écrites analysées par des spécialistes du domaine dont le Conseil national de l’ordre national des pharmaciens :





L’appréciation erronée du directeur du centre hospitalier de Cholet, Monsieur Denis MARTIN qui aurait pris la fuite :


Les accusations du même chef de service de la pharmacie envers, cette fois, le conseiller magistrat de la chambre régionale des comptes :


Décès d’un patient suite à une erreur de dose d’un médicament stupéfiant (la morphine). Seuls le médecin et la jeune infirmière ont été condamnés :

Ce même chef de service de la pharmacie, lui, n’a pas été inquiété par cette même juridiction Angevine...

Alors qu'avant la survenue de ce décès, ce chef de service avait refusé de prendre en compte notamment ledit constat du magistrat de la chambre régionale des comptes… effectué en 2002 avant mon arrivée au centre hospitalier de Cholet.

Ce chef de service de la pharmacie aurait, peut-être, trompé les policiers qui l’auraient interrogé dans cette affaire… médiatisée...


Autres lectures (non exhaustives) :

Hôpital public de Cholet : un nouveau directeur au-dessus des lois de la République (Cliquer ici)