mercredi 26 février 2014

Le procureur de la République a également déconsidéré le travail effectué par "son" propre service régional de police judiciaire


Le procureur de la République d’Angers (49), Madame Brigitte ANGIBAUD, n’a pas ignoré, seulement et uniquement, le fruit de l’enquête menée par l’inspection régionale de la pharmacie des Pays de La Loire. (Cliquer ici)

Ce procureur de la République a également déconsidéré le travail mené par « son » propre service régional de police judiciaire (SRPJ) d’Angers.

Les policiers ont pourtant enregistré plusieurs dépositions.

Je vous propose (ci-dessous) des extraits, non exhaustifs, de ces témoignages que le procureur de la République, ainsi que « ses » juges, a écarté sans explication.

Les menaces subies par les témoins avant leurs auditions par les policiers :
 



Les autres témoignages du personnel de la pharmacie du centre hospitalier de Cholet :


















Les accusations du chef de service de la pharmacie, à mon encontre, auprès des policiers :




Quelques semaines plus tard, ce même chef de service de la pharmacie donne une autre version lors de son audition, cette fois, par l’Ordre national des pharmaciens :


Le témoignage d’un premier psychiatre :


La déposition d’un deuxième psychiatre :


Un nouvel extrait de la déposition du premier psychiatre :


La déposition d’un directeur adjoint du centre hospitalier de Cholet :


Mon travail vu par l’inspection régionale de la pharmacie des Pays de La Loire :


Mes preuves écrites analysées par des spécialistes du domaine dont le Conseil national de l’ordre national des pharmaciens :





L’appréciation erronée du directeur du centre hospitalier de Cholet, Monsieur Denis MARTIN qui aurait pris la fuite :


Les accusations du même chef de service de la pharmacie envers, cette fois, le conseiller magistrat de la chambre régionale des comptes :


Décès d’un patient suite à une erreur de dose d’un médicament stupéfiant (la morphine). Seuls le médecin et la jeune infirmière ont été condamnés :

Ce même chef de service de la pharmacie, lui, n’a pas été inquiété par cette même juridiction Angevine...

Alors qu'avant la survenue de ce décès, ce chef de service avait refusé de prendre en compte notamment ledit constat du magistrat de la chambre régionale des comptes… effectué en 2002 avant mon arrivée au centre hospitalier de Cholet.

Ce chef de service de la pharmacie aurait, peut-être, trompé les policiers qui l’auraient interrogé dans cette affaire… médiatisée...


Autres lectures (non exhaustives) :

Hôpital public de Cholet : un nouveau directeur au-dessus des lois de la République (Cliquer ici)
 
 
 
 
 
 
 

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