Le 20 octobre 2023, FranceBleu publie un article intitulé « La vaccination contre le papillomavirus [anti-HPV, vaccin GARDASIL9®] suspendue en Loire-Atlantique après le malaise d’un adolescent » (cliquer ici).
Cet article indique : « Un adolescent s’est
évanoui et s’est blessé juste après avoir été vacciné contre le
papillomavirus dans un collège de Loire-Atlantique ».
Cet article ajoute : « L’ARS [agence régionale
de santé] assure qu’il n’y a pas de lien avec le produit vaccinal ».
L’autorisation de mise sur le marché
(AMM) de ce vaccin GARDASIL9®, elle, considère la « syncope (évanouissement) » avec risque de « chute » et de « blessure » comme un effet indésirable possible de
ce vaccin.
Selon cette AMM, ces effets
indésirables peuvent s’accompagner de « plusieurs signes neurologiques comme un trouble
transitoire de la vision, des paresthésies et des mouvements tonico-cloniques
des membres ».
Cette AMM alerte et demande : « Il est
important que des mesures soient mises en place afin d’éviter toute blessure en
cas d’évanouissement ».
Dès 2019, j’alertais en
publiant un article intitulé « PHARMACOVIGILANCE. Complément de réponse aux « 50
sociétés savantes ». Vaccin « GARDASIL® » : des effets
indésirables enregistrés ». Dans cette alerte, il est possible de lire notamment ceci :
« Les articles
publiés relatent des observations portant sur des effets indésirables tels que (…)
syncopes parfois accompagnées de mouvements tonico-cloniques (…) chutes
à l’origine de blessures, de fractures ou d’hémorragies cérébrales (…). »
Concernant l’état de santé de cet
adolescent, FranceBleu précise qu’il « restait préoccupant ce vendredi soir, selon l’ARS des Pays
de la Loire ».
L'ARS des Pays-de-la Loire ne peut ignorer mes nombreuses publications et la conférence destinée au public et aux professionnels de santé concernant ce vaccin. Cette conférence a eu lieu dans les locaux du centre hospitalier de Cholet. Ces travaux datent de 2019.
Mon article de 2019 est sur le site
(blog) du CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques)
du centre hospitalier de Cholet. L’information indépendante destinée au public,
contenue dans ce site et concernant les vaccins contre la Covid-19, est le motif de ma révocation du centre
hospitalier de Cholet par le centre national de gestion (CNG) – Ministère de la
santé –. Elle est aussi le motif de mon audition, jeudi dernier (19 octobre
2023) à Paris, par la chambre disciplinaire de la première instance de l’Ordre
national des pharmaciens (cf. Vidéo de l'Entretien Essentiel sur FranceSoir du 19 octobre 2023).
Ils me reprochent notamment de ne pas
avoir « désactivé » ce blog. Ils veulent que je supprime
toutes ces preuves.
Dans mon article de 2019 (cf. ci-dessus) concernant le vaccin GARDASIL®, j’alertais également ainsi :
« Concernant le
syndrome de Guillain-Barré, une étude française estime le nombre de cas à
environ 1 à 2 cas par an pour 100 000 filles vaccinées. Le lien de
causalité semble plausible. Certaines patientes ont été mises sous nutrition
entérale ou parentérale voire sous ventilation mécanique assistée. De façon
générale, le risque serait 4 fois plus grand après vaccination. Ce risque
inhérent à cette affection grave, parfois mortelle, pourrait peser dans la
décision thérapeutique. C’est ainsi que la revue indépendante Prescrire
considère que « Dans l’étude française, le vaccin a été associé à un
surcroît d’environ 1 à 2 cas pour 100 000 filles vaccinées. Autrement dit,
dans l’hypothèse où chaque année les 400 000 jeunes filles concernées par
la vaccination choisiraient d’être vaccinées, il y aurait de ce fait chaque
année 4 à 8 jeunes filles de plus atteintes de syndrome de Guillain-Barré du
fait du vaccin, avec une mort tous les 2 ans à 3 ans. Chaque année, 1 ou 2
femmes resteraient handicapée de façon durable. » ».
J’espère que vous comprenez encore
davantage pourquoi ils m’ont infligé ce que mon avocat a qualifié de « peine de mort
professionnelle ».
Docteur Amine UMLIL
Pharmacien - Juriste (Droit de la
santé)
Oui Monsieur UMLIL. Bravo. Merci !
RépondreSupprimerCe que l'on vous fait subir est une infamie pour nos professions. Un médecin.
RépondreSupprimer